Bayern-PSG : avec Heynckes, le Bayern sait cartonner à la maison en Ligue des champions

Pas grand monde au club n’y croit, encore moins son entraîneur, mais pourtant… Le Bayern, qui compte trois unités de retard sur son adversaire du soir, doit gagner au minimum, 4-0, ce mardi (20h45) face au Paris Saint-Germain, pour effacer la défaite du match aller au Parc des Princes (0-3) et ainsi repasser devant la formation parisienne au classement du groupe B, à la différence de points particulière. Une performance qui paraît improbable et inespérée au vu du niveau actuel du PSG, même si la bande à Neymar reste sur une défaite à Strasbourg en Ligue 1. Mais primo, jurisprudence remontada oblige, et secundo, le club bavarois, sous Jupp Heynckes, sait gifler ceux qui se présentent à l’Allianz Arena.
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Environ 3,1 buts par match à domicile avec Heynckes
Revenu entraîner le Bayern en 2011, 20 ans après sa première prise de fonction, puis de retour une nouvelle fois en octobre dernier, Jupp Heynckes, connait bien la Ligue des champions, compétition qu’il a remportée en 1998 avec le Real Madrid, et en 2013 sur le banc munichois. D’ailleurs en Bavière, les soirs d’Europe, l’entraîneur né à Mönchengladbach avait la recette pour infliger des gros scores à ses adversaires. De 2011 à 2013, le Bayern a disputé 13 matches dans son enceinte en C1 (tour préliminaire exclu) et a marqué au total 37 fois. On peut ajouter à ça, le tout récent Bayern-Celtic d’il y a deux semaines (3-0). Au total cela fait 40 buts en 14 rencontres soit presque 3 pions par rencontre (3,1 environ).
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Le Bayern a déjà humilié un club français (6-1) et le Barça (4-0) la même année
Si les partenaires de Kingsley Coman devront marquer un but de plus que le chiffre de cette donnée statistique ce mardi, les hommes d’Unai Emery sont prévenus. Deuxième avertissement notable: les Munichois aiment les Français et les gros. Parmi les cartons de l’ère Heynckes, on peut compter la fessée donnée au Losc en 2012-2013 (6-1), et la démonstration face au Barça (4-0), la même année. Deux résultats à éviter d’urgence pour le PSG afin d’éviter un deuxième psychodrame européen en 2017.