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Ligue des champions: encore de nombreuses places à vendre à 48h de Brest-PSG en barrage aller

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À l’approche du match entre le Stade Brestois et le Paris Saint-Germain, prévu mardi en Ligue des champions pour le barrage aller, plus de 2.000 places sont encore disponibles à Roudourou, à 48 heures de la rencontre.

Le Stade du Roudourou sera-t-il plein pour cette affiche franco-française? Alors que la rencontre entre Brest et le PSG se déroulera mardi à 18h45, environ 2.500 billets sont encore en vente pour ce match des barrages aller de Ligue des champions.

C’est la cinquième rencontre à Guingamp cette saison et pour la première fois en LDC, le Stade Brestois propose des places au grand public pour un match à domicile. Plus de mille billets ont été vendus dans la plupart des catégories pour ce barrage aller contre le PSG depuis ce samedi, à 13h. Mais, il manque quand même des preneurs…

Jusqu'alors, les abonnés prioritaires faisaint leur marché, ne laissant rien pour une ouverture de billetterie plus large et créant beaucoup de frustration. Les 15.500 places de Roudourou se vendaient sans problème. Pour cette rencontre en Ligue des champions, un changement concernant la capacité d’accueil des supporteurs de la part de l’UEFA était redouté, en raison des nouvelles restrictions de diffusion, abaissant les places à 12.000. Mais puisque cette rencontre a lieu entre clubs français, le problème ne se pose pas.

Un horaire qui pose problème?

Il semblerait qu’il y ait bien une raison pour laquelle les dernières places ne se vendent pas. Déjà, la familiarité du match. Les deux équipes s’affrontent deux fois chaque saison en Ligue 1. L’horaire du match n'est pas idéal non plus: à 18h45 un mardi soir, tout le monde ne peut pas répondre présent. La distance également: les villes de Brest et Guingamp se situe à 113km l’une de l’autre. Enfin, cela pourrait s’expliquer par des tarifs trop élevés puisqu’il ne reste que des places entre 150 et 200 euros, en tarif plein. Reste à voir maintenant si toutes les places trouveront preneurs.

Clémence Gontard