Dopage : pour Nadal, il n’y a "pas une guerre France-Espagne"

- - AFP
C’est un règlement de comptes personnel. Pas une affaire d’Etat. Voilà le message que Rafael Nadal a souhaité faire passer. Après sa victoire face à Alexandre Zverev la nuit dernière à Indian Wells (6-7, 6-0, 7-5), le Majorquin est revenu sur le conflit à distance qui l’oppose à Roselyne Bachelot. Lors d’une émission sur D8, l’ancienne ministre des Sports, a estimé que la longue absence de Nadal en 2012 était liée à un contrôle antidopage positif et non à une blessure au genou.
Nadal : « J’aime la France »
Si l’ancien n°1 mondial, qui va porter l’affaire en justice, n’a pas du tout apprécié ces accusations, il ne veut pas en faire un clash entre les deux pays. « Ne prenez pas les mots malheureux d’une dame pour en faire une guerre entre la France et l’Espagne, parce que ce n’est pas le cas, a-t-il affirmé. Sincèrement, j’aime la France. J’aime ce pays où j’ai connu le plus de succès dans ma carrière (neuf victoires à Roland Garros) ».