"Une put*** de honte": le coup de gueule de Ian Wright sur la pelouse de Real-Arsenal en Ligue des champions féminine

Après le célèbre 'fuck*** disgrace' de Didier Drogba lors de la demi-finale de Ligue des champions 2009 entre Chelsea et Barcelone, un autre club duel anglo-espagnol y a eu droit cette semaine. Et cette fois, c'est Ian Wright qui s'est lâché dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux ce mardi en marge du quart de finale aller de C1 féminine entre le Real Madrid et Arsenal.
Si les Madrilènes se sont imposées (2-0) sous une pluie battante, l'ancien attaquant du club londonien a pesté contre l'état de la pelouse du stade Alfredo Di Stefano.
"Regardez la pelouse du Real Madrid pour le quart de finale de Ligue des champions féminines… C’est encore pire que le terrain de Derby pour la finale de Coupe de la Ligue anglaise", a lâché l'ancien buteur des Gunners devenu consultant dans une story sur Instagram. "C’est une put*** de honte ce terrain sur lequel elles doivent jouer!"
"La prochaine étape" du foot féminin
Contrairement au prochain duel entre l'équipe merengue de Kylian Mbappé et Vinicius Junior et Arsenal (les 8 et 16 avril), les féminines du Real Madrid n'ont pas droit de jouer à Santiago Bernabeu et se contentent de l'enceinte de la Castilla pour leurs matchs de Ligue des champions. Mais l'état du terrain a visiblement agacé Ian Wright.
Surtout que, selon lui, cela traduit un manque de considération pour les joueuses et que ça intervient quelques jours seulement après une première polémique en marge de la finale de la League Cup entre le Chelsea de Sonia Bompastor et Manchester City. Interrogée après la défaite de son équipe à Madrid, Renne Slegers n'a pas souhaité envenimer la situation.
"Ce n'est pas à moi de critiquer. C'est évidemment une décision du club et je suis sûre que l'UEFA fait tout son possible pour créer les meilleures conditions possibles pour la compétition", a jugé la coach d'Arsenal face à la presse comme relayé par la BBC. "Mais on a vu quelques matchs ces derniers temps où la pelouse n'était pas géniale. C'est la prochaine étape à franchir pour le football féminin."