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Ligue 1: l'OL fera "des déplacements en car et en train", annonce Aulas

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En marge de la pose du premier fauteuil à la LDLC Arena, la future salle multifonctions du groupe OL, Jean-Michel Aulas a réagi aux propos de Christophe Galtier tenus la veille en conférence de presse. Le président de l'OL a défendu l'entraîneur du PSG, avant d'évoquer les transports à venir de ses joueurs.

L'OL est prêt à prendre certaines mesures pour les déplacements de ses équipes professionnelles. En marge de la pose du premier fauteuil à la LDLC Arena, la future salle multifonctions du groupe OL, Jean-Michel Aulas a réagi aux propos de Christophe Galtier tenus la veille en conférence de presse. Le président de l'OL a défendu l'entraîneur du PSG.

"Je ne vais pas appuyer là où ça fait mal mais la question a été mal posée et elle avait été mal comprise. C'est un sujet très important et qui doit être respecté. En tant que grands sportifs et grands entrepreneurs, on se doit d'être exemplaires. On a introspecté en interne toutes les possibilités. On aura d'ores et déjà un certain nombre de déplacements qui seront effectués en car", a expliqué le président lyonnais.

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La SNCF est "capable de tout proposer dans la limite du possible"

Jean-Michel Aulas a également affirmé que son club travaillait pour changer son moyen de locomotion dans la mesure du possible. "J'ai compris que la SNCF était en train s'essayer d'optimiser sur un certain nombre de déplacements, en particulier, peut-être Paris, poursuit-il. On va tout faire, y compris en faisant des efforts, au niveau des équipes, des organisations, au niveau de la direction, pour qu'il y ait moins de consommation. Quand on peut éviter de prendre l'avion, on peut prendre le train ou le car".

Contactée par BFMTV, la SNCF a rappelé qu'elle était "capable de tout proposer dans la limite du possible", comme aller chercher les équipes au stade et les transférer à la gare (n'importe quelle gare), privatiser un salon grand voyageur en gare, privatiser un TGV ou une à deux voitures en 1ère classe (60 à 64 personnes par voiture) sur les extrémités du train, sécuriser les accès aux voitures, proposer des plats en lien avec les diététiciens ou faire un aller-retour ou un aller simple. En revanche, la SNCF assure qu'il n'est "pas question de fermer une gare à 15 heures pour faire accéder une équipe au train".

AS, avec Edward Jay à Lyon