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EN DIRECT - JO de Paris 2024: pas de JO pour Ripoll, écarté de son poste de sélectionneur de l’équipe de France Espoirs

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Les Jeux olympiques de Paris 2024 débuteront le 26 juillet 2024 dans la capitale tricolore. A un an jour pour jour, soit pour le rendez-vous du J-365 (en réalité J-366 en raison de l'année bissextile), RMC Sport sera au coeur de l'actualité olympique et paralympique. Toutes les infos sur le fantastique événement planétaire sont à suivre en direct commenté sur le site et l'app RMC Sport.

Pas de JO 2024 pour Ripoll qui n’est plus le sélectionneur de l’équipe de France Espoirs

Sylvain Ripoll à la tête des Bleuets, c’est fini. Comme révélé par Ouest France et confirmé par RMC Sport, le technicien de 51 ans n'est plus le sélectionneur de l’équipe de France Espoirs. Il a été écarté. L’ancien coach de Lorient ne sera donc pas aux commandes de la sélection tricolore pour les Jeux olympiques de Paris, l’été prochain. En poste depuis mai 2017, Ripoll paye ses mauvais résultats de son équipe, éliminée sans gloire en quart de finale du dernier Euro par l’Ukraine (3-1).

La Fédération française de football a officialisé son départ via un communiqué et a insisté sur sa volonté d'ouvrir un "nouveau cycle" avant Paris 2024.

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Élisabeth Borne sur BFMTV : "Nous serons prêts pour accueillir les JO dans de bonnes conditions"

La Première ministre Élisabeth Borne a donné une interview exclusive à BFMTV ce mercredi soir. Elle s'est notamment exprimée sur le défi sécuritaire que représentent les Jeux olympiques de Paris 2024.

"Je pense qu’il faut redire que ces JO doivent d’abord être une très belle fête pour notre pays, a-t-elle déclaré. On souhaite tous que nos athlètes ramènent beaucoup de médailles. Cette très belle fête commencera par une cérémonie d’ouverture inédite. Elle ne sera pas dans un stade mais sur la Seine. Je peux vous assurer qu’on s’y prépare, il y a eu une répétition la semaine dernière. Evidemment, le ministre de l’Intérieur, le préfet de police et toutes les forces de l’ordre se préparent pour cet événement. Je peux vous assurer que nous serons prêts pour accueillir les JO dans de bonnes conditions."

"Je pense qu’on a tiré tous les enseignements de ce qui s’est passé (lors du fiasco de la finale de la Ligue des champions au Stade de France en 2022). Le travail est engagé depuis des mois, on a même fait voter une loi sur les Jeux olympiques qui a été très largement votée au Parlement pour donner des moyens supplémentaires, par exemple pour détecter des mouvements de foule. On a tous les outils à notre disposition. Il y a beaucoup de préparation et de mobilisation pour que ce soit une grande fête du sport, pour tous les Français", a insisté Élisabeth Borne.

Nathalie Péchalat présente le Club France, "le point de rencontre entre le grand public et les champions"

Nathalie Péchalat, présidente déléguée du Club France, sur RMC: "On a encore beaucoup de travail mais on sera prêts quand ce sera le moment, on sera ravis de partager ces Jeux tous ensemble. La Villette va accueillir l’équipe de France, ce sera le point de rencontre entre le grand public, les champions et les partenaires. Ce sera l’occasion de célébrer l’équipe de France mais aussi de faire des initiations. Ce sera très festif, avec beaucoup d’animations, des concerts… Ce sera l’épicentre du mouvement sportif pendant ces Jeux."

"Ce sera ouvert de 10h jusqu’à 23h sur l’espace extérieur et 2h du matin à l’intérieur. A l’extérieur, c’est là où on pourra faire du sport, ce sera un espace gratuit. A l’intérieur de la grande Halle, ce sera payant le soir puisqu’on proposera la célébration des athlètes, les concerts et les animations. On peut accueillir 20.000 personnes à l’extérieur et 5.000 personnes à l’intérieur."

Mathilde Gros: ""Un très grand moment pour tout le monde"

Mathilde Gros, championne du monde de vitesse en 2022, sur RMC: "Ça va être un très grand moment pour tout le monde, on a tous hâte d’être présent et de performer - on l’espère - devant notre public. Les JO, c’est un rêve et un objectif depuis que je suis toute petite, c’est quelque chose que j’ai coché. 2021 étaient mes premiers Jeux, il y avait beaucoup d’attentes, énormément de pression et j’ai beaucoup subi. Ça a été un peu compliqué mais j’ai pu apprendre et en tirer quelque chose de positif pour la suite et les JO de Paris.”

Béatrice Edwige sur les phases finales de hand: "Ça m'ennuie"

Béatrice Edwige, championne olympique de handball, sur RMC: "Le titre est l'objectif. Ça va être très dur mais on fait le nécessaire pour atteindre cet objectif. (...) Les phases finales à Lille ? Je vais faire une réponse 100% honnête et qui n’engage que moi… Ça m'ennuie ! (rire) Mais c’est comme ça, il faut l’accepter. C’est vrai qu’on aurait aimé être à Paris. On sera à Lille et on sera aussi bien, on aura plein de supporters et si tout se passe bien… on ira faire la fête à Paris !"

Ngapeth: "Les JO à paris ? Ça va être plus difficile mentalement que physiquement"

Earvin Ngapeth, champion olympique de volley, sur RMC: "Super impatient et super excité. On parle beaucoup de ça. Finalement, un an c’est demain. C’est compliqué de se projeter car ça va être une expérience unique, on ne sait pas trop à quoi s’attendre."

"Pour la première fois, on va faire une vraie préparation mentale avant cette compétition car ça va être quelque chose de compliqué à gérer mentalement. Ça va être plus difficile mentalement que physiquement. La pression, l’enjeu et… Paris quoi ! Jouer à domicile est toujours particulier. Il y aura la famille, les amis et vous, les journalistes ! C’est important d’avoir une vraie préparation mentale."

Kevin Mayer: "C’est de la bonne pression, si on arrive à la maîtriser ça peut donner d'incroyables émotions"

Kevin Mayer, double champion du monde de décathlon, sur RMC: "La pression ? J’ai les Mondiaux dans moins d’un mois, j’ai la pression pour les Mondiaux avant celle des JO (sourire). C’est de la bonne pression, si on arrive à la maîtriser ça peut donner d'incroyables émotions, on essaye de positiver et de tout faire pour être en forme le Jour-J. Personne ne peut me mettre plus de pression que celle que je me mets tout seul. On s’habitue à toutes ces formes de pression et on se rend compte que ces états font ce qui nous font devenir des bêtes sportives."

"Physiquement je suis bien. Mon expérience fait que je peux moins m’entrainer car j’ai acquis une certaine maîtrise technique donc je peux plus gérer les blessures."

Oudéa-Castéra annonce une hausse des primes pour les médaillés et leurs entraîneurs

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, sur RMC: "On veut s’inscrire durablement dans le top 5. J’ai la certitude que les fondamentaux qu’on a posés sont excellents. Sous l'impulsion du président de la République, on s’est dit qu’on allait faire un effort budgétaire exceptionnel et on a décidé de rehausser les primes pour les médaillés. Elles vont passer de 65.000 à 80.000 euros pour une médaille d’or, de 45.000 à 60.000 euros pour une médaille d’argent et de 15.000 à 20.000 euros pour une médaille de bronze. On accompagne aussi nos entraîneurs: le taux de prime ne va plus être de 50% mais de 100% des primes des médaillés."

"Des réassorts vont être proposés régulièrement", annonce Oudéa-Castéra sur la billetterie

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, sur RMC: "La billetterie est un grand succès qui traduit l’engouement des Français pour ces Jeux. On a mis en ligne de nouvelles places ce matin. Des réassorts vont être proposés régulièrement sur le site de Paris 2024. Je n’oublie pas la dimension populaire de ces places avec la billetterie qui a été mise en place gratuitement pour 400.000 personnes par l’Etat et pour 500.000 personnes par les collectivités territoriales."

"Etre dans le top 5": Oudéa-Castéra annonce la couleur pour l'objectif de médailles

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, sur RMC: "L’objectif sera de faire mieux qu’à Pékin. L'objectif est simple: être dans le top 5 des nations médailles. Pour ça, il va falloir battre nos records. C’est dans nos cordes. On a identifié notre potentiel des médailles et on accompagne le mieux possible la performance de nos athlètes."

Oudéa-Castéra: "Tout sera livré dans les temps"

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, sur RMC: "Ça devient concret, avec la sérénité d’être dans les temps de passage. De la pression qui monte ? Oui, la pression est là, on la sent. Mais la pression permet de se dépasser et de donner le meilleur de soi-même. C’est bon de vivre ça. On a 365 jours et on va livrer des Jeux aux Français dont ils sont vraiment fiers."

"Oui tout sera prêt. On a bien avancé sur les infrastructures. Tout sera livré dans les temps, dans le respect des budgets et des exigences sociales. On a encore un ou deux points de vigilance mais ils sont bien identifiés. J’ai toute confiance."

Yann Cucherat, responsable de la cellule "Gagner en France": "Trouver les petits suppléments qui vont faire la différence"

Yann Cucherat, responsable de la cellule "Gagner en France", sur RMC: "On a la chance d’accueillir le plus bel évènement sur notre territoire. C’était important de créer des conditions exceptionnelles pour que nos athlètes brillent et que la France rayonne sur cette compétition. On est là pour accompagner les fédérations, les entraîneurs et athlètes en essayant de trouver les petits suppléments qui vont faire la différence."

Estanguet "serein sur la capacité de la délégation française à battre tous les records"

Tony Estanguet sur l'objectif de médailles françaises à Paris (RMC): "Je pense aux athlètes. Ce n’est pas forcément facile d’être à Paris. On sait combien ils ont envie de réussir. Je sens une détermination que je ne ressentais pas sur les dernières éditions des Jeux, on les sent portés par cette vague de Paris 2024. Je suis serein sur la capacité de la délégation française à battre tous les records et à ce que l’on fasse notre meilleur résultat de l’histoire du sport français. C’est un très bel objectif qu’il faut qu’on arrive à atteindre. Ça ne va pas être simple de gérer cette pression à domicile, mais on a une génération qui va nous régaler. On croit en eux, on est fiers d’eux."

Le dernier relayeur de la flamme "n'a pas encore été choisi" confie Estanguet

Tony Estanguet sur le dernier relayeur de la flamme olympique sur RMC: "On ne l’a pas encore choisi, mais même le jour où on l’aura choisi on ne communiquera pas dessus car on a besoin de garder l’effet de surprise."

Estanguet sur la billetterie: "On a souhaité garder l'accessibilité au plus grand nombre"

Tony Estanguet sur RMC: "On est ravis de pouvoir remettre des billets à la vente aujourd’hui. On a remis des billets à la vente dans la quasi-totalité des disciplines. Je sais que la question des prix a beaucoup fait parler, on a souhaité garder l'accessibilité au plus grand nombre avec un nombre très important de billets très accessible: un million de billets à 24 euros, quatre millions de billets à 50 euros ou moins… Forcément, ces billets sont partis très rapidement. Malheureusement, des gens sont arrivés trop tard sur la plateforme. L’autre moitié des billets permettent de financer l'organisation des Jeux. Un million de billets sont à plus de 200 euros, avec des prix qui montent très haut, car on sait qu’on a une demande pour ces plats d'exception. Ce sont des tarifs déjà pratiqués sur les dernières éditions. Il n’y a pas de raison que ce soit moins cher à Paris."

Estanguet: "On a rendez-vous avec notre histoire"

Tony Estanguet, président du Comité d'organisation, sur RMC: "Quel bonheur d’être à un an des Jeux. Ça fait des années qu’on attend ça, on a rendez-vous avec notre histoire. Tous les athlètes français sont déjà à pied d’oeuvre."

"On est mobilisés pour offrir ce qu’il y a de mieux à offrir pendant ces Jeux. On va accueillir le monde. Notre génération va vivre un moment très rare."

"On va accueillir des millions de personnes et le Comité d’organisation a la responsabilité que les gens trouvent un logement, un moyen de transport, puissent se restaurer… C'est une grande opération logistique, c’est sans précédent."

Thomas Bach: "On a de grandes attentes"

Thomas Bach, président du CIO, sur RMC: "On a de grandes attentes pour que les Jeux de Paris soient excellents. Les préparatifs se passent bien. Le comité d'organisation fait un travail extraordinaire. Nous sommes très confiants."

(Sur la cérémonie d'ouverture) "Imaginez-vous un athlète sur un bâteau sur la Seine, accueilli par des centaines de milliers de spectateurs… Ce seront des moments inoubliables."

RMC en route pour Paris 2024

A un an jour pour jour des JO 2024, RMC vous propose une émission spéciale ce mercredi après-midi. Amélie Oudéa-Castéra, Tony Estanguet, Thomas Bach ou encore Kevin Mayer seront notamment nos invités.

>> Ecoutez l'émission RMC en route pour Paris 2024

"Le monde entier sera là et on sera prêts!", la promesse du président Macron

En voyage à Nouméa en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a lancé la dernière année avant le début des Jeux olympiques à Paris en 2024. Non sans une immense fierté pour le président de la République.

"Je suis à Nouméa et on vient de hisser le drapeau des Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Aujourd’hui 26 juillet, dans un an jour pour jour, on a l’immense chance et l’immense honneur d’accueillir les Jeux olympiques et paralympiques en France. A Paris et dans beaucoup de territoires parce que cela va aussi être à Marseille, la vague (le surf, ndlr) sera à Tahiti en Polynésie française. On a aura des athlètes venant de tous les territoires français et on a beaucoup de nos champions ou anciens champions présents à mes côtes en Nouvelle-Calédonie et qui sont en train de se préparer pour les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques."

Et le chef de l'Etat d'enchaîner: "C’est une immense fierté et c’est la France comme nation sportive qui se prépare. D’ici un an on a encore beaucoup de travail pour accueillir, pour les transports, pour l’hôtellerie, pour la sécurité, pour la billetterie. Mais le monde entier sera là et on sera prêts! C’est mon message, on sera prêts! La France sera fière! Fière d’accueillir le monde et d’être regardée par des milliards d’amateurs de sport et de grand spectacle dans le monde entier. La France sera prête pour avoir des médailles dans ces Jeux olympiques et dans ces Jeux paralympiques avec ses champions. Donc c’est une immense fierté pour moi de donner le coup d’envoi depuis Nouméa de ces J-1 an de ses Jeux olympiques et paralympiques avec cette cérémonie d’ouverture qu’on fera sur la Seine le 26 juillet 2024."

Macron assure que la France "sera prête à coup sûr" malgré les "défis"

La France "sera prête à coup sûr" pour accueillir les Jeux Olympiques de 2024, a assuré Emmanuel Macron en marge de sa visite en Nouvelle-Calédonie, à un an du coup d'envoi de l'événement.

Reconnaissant "un défi d'organisation", en matière d'hébergement, de transports, de sécurité, le chef de l'État français a expliqué sur la chaîne franceinfo que le pays se préparait "à tous les scénarios". "C'est une France fière d'elle-même, une France qui rayonne et une France qui va montrer qu'elle est capable du plus grand, grâce à un spectacle formidable, qu'on va finaliser à la rentrée et qui sera celui, dans un an, de cette cérémonie d'ouverture", a-t-il ajouté.

Avec AFP

Mickaël Alosio, directeur général délégué de Paris 2024, sur BFM Business: "On n'est absolument pas en retard"

"Le recrutement avance bien, les équipes grandissent. On va finir l’année avec un peu plus de 2.000 salariés et on va doubler ce nombre la dernière année. On débute cet été les premières épreuves tests, c’est l’occasion pour les équipes de préparer concrètement l’organisation des Jeux."

"On n’est absolument pas en retard. On a des marges de sécurité. Tout avance très bien, tout est dans les temps. C’est une énorme satisfaction."

Mickaël Alosio, directeur général délégué de Paris 2024, sur BFM Business: "Nous ne dépenserons que l'argent que nous aurons généré"

"On est passé de 3,8 milliards à 4,4 milliards. En tant que comité d’organisation des Jeux, nous ne dépenserons que l’argent que nous aurons généré en revenus. Notre modèle est assez basique."

"Oui, on est financés par des fonds privés. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’on a trois tiers dans nos revenus. Un tiers est apporté directement par le Comité international olympique, un tiers par la billetterie et un tiers par notre programme de partenariat. Nous avions l’objectif de réaliser 92% de nos revenus grâce aux partenariats en fin d’année, on a déjà dépassé les 95%."

(Sur le partenariat avec LVMH): "Pour nous, c’est une chance considérable d’accueillir le n°1 mondial du luxe, qui fait rayonner tous les jours notre pays, qui porte des valeurs de créativité et d’excellence qui nous parle. On est forcément extrêmement fiers de les accueillir. On a déjà des collaborations très concrètes. On collabore avec la maison Chaumet au sein du groupe LVMH pour designer les médailles. On va les dévoiler dans les prochains mois, c’est le plus beau symbole des Jeux et on est ravis de s’engager avec eux."

Mickaël Alosio, directeur général délégué de Paris 2024, sur BFM Business: "On a envie de montrer le meilleur de la France"

"Je suis enthousiaste parce qu’on se projette dans un an et on sera à quelques heures de la cérémonie d’ouverture, avec un événement grandiose sur la Seine. Ce sera un moment magique. On sait qu’à ce moment-là, il y aura plus d’un milliard de gens qui auront les yeux rivés vers notre pays et forcément, on a envie de rendre fier tous les Français. On va accueillir le monde. On a envie de montrer le meilleur de la France à cette occasion. Et dans un an, le meilleur sera également devant nous, ça va être les performances de nos athlètes. On pense qu’ils vont faire rêver tout un pays."

"On a la chance d’avoir un soutien populaire depuis le début du projet, qui est constant. C’est une très grande satisfaction à un an des Jeux et puis ça devient très concret parce qu’on prend possession de certains sites. La billetterie est lancée. Il y a la billetterie paralympique qui va être lancée en octobre. Tout avance très bien."

"Ça va être inoubliable mais je ne pense pas qu'il y aura plus de pression" estime Kentin Mahé

Champion olympique avec l'équipe de France de handball, Kentin Mahé était lui aussi invité de la matinale sur RMC ce mercredi: "Ce sera quelque chose de spécial, quand on voit les photos des bâteaux qui défilaient, ça avait l’air chouette. Notre saison va ressembler à d’autres saisons avec des événements qui vont arriver avec mon club et l’Euro en Allemagne qu’on aura à cœur de gagner. Il y aura des étapes avant d’entamer une grosse préparation. Quand on rentre dans le dur, c’est un mois et demi avant les JO. Forcément, ça va être inoubliable, je ne pense pas qu’il y aura plus de pression. Il va falloir se nourrir des encouragements, de l'engouement. A partir des quarts, les choses sérieuses commencent et si tu es au rendez-vous, les portes pour les médailles s’ouvrent. On a un groupe de 18 à 20 qui peuvent prétendre à une place, c’est resserré, la qualité est extrême. Il va falloir choisir 14 joueurs, je n’aimerais pas être dans la peau du sélectionneur. Nikola Karabatic est encore sous contrat pendant un an, il y a des chances qu’on le voie avec le maillot de la France aux JO. Il peut nous apporter avec son expérience, sa présence qui nous rassure. C’est ce grand frère, qui n’a peut-être pas le même rendement que ces dernières années mais qui rassure. En tant que sportif, la préparation on suit ça un peu de loin, j’ai l’impression que ça prend forme. Nous ne sommes pas préoccupés."

"Je vise l'or", confie la judokate Romane Dicko dans la matinale sur RMC

La judokate Romane Dicko est passée ce mercredi matin sur RMC pour aborder les JO à un an de l'événement: "Dans un an, je serai sur les bâteaux sur la Seine, avec l’équipe de France, prête à en découdre. Ma vie va être à fond pour les JO, là je suis en stage pour une compétition importante pour les qualifications. Il y a une sélection et un titre à aller chercher. J’étudie les mathématiques, je pense que je vais rester à la FAC en allégeant mon programme, qui l’est déjà. Ce sera compliqué de faire les deux. Je pense que de les faire à Paris les JO sera différent forcément, surtout que mes premiers JO à Tokyo étaient sans public. C’était un peu l’échauffement à Tokyo, il faudra être sans pression à Paris mais combattre à domicile sera quelque chose d’extraordinaire. J’ai déjà eu la chance de le faire au Grand Chelem de Paris. Il y aura une pression différente forcément. Clairement, je vise l’or, j’ai eu le bronze à Tokyo. Il n’y a pas moyen de rentrer des JO de Paris sans l’or, à Tokyo c’était déjà bien mais un peu frustrant. Teddy Riner ce n’est pas le boss, il ne va plus se sentir si je dis ça, mais c’est le grand frère pour tout le monde. Il va bien, il est en forme et il va le faire, je n’ai aucun doute dessus. Ce serait une bonne idée qu’il porte en dernier la flamme olympique, ça serait beau pour lui et sa carrière. A domicile, tout est possible, on a tous faim, on veut tous avoir le maximum de médailles. Il y aura de belles surprises."

A un an des JO, soit à J-366

L'année 2024 sera une année bissextile et comportera 366 jours : en clair à un an des Jeux Olympiques de Paris, le "J-365" est un "J-366".

La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra ambitieuse pour Paris 2024

Interrogée ce mardi au micro de BFMTV, la ministre des Sports a partagé de belles ambitions pour les JO de Paris en 2024.

"On va livrer aux Français des Jeux d'exception, qui vont être spectaculaires, qui vont les rendre fiers, qui vont donner à notre pays de la confiance, de l'ouverture et ce côté conquérant, a estimé Amélie Oudéa-Castéra. C'est tout cela, l'aventure des Jeux olympiques et paralympiques. Et on va la réussir."

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Bonjour à tous,

A un an de l'ouverture des Jeux olympiques de Paris, le 26 juillet 2024, RMC Sport se met au diapason du rendez-vous planétaire et va vous permettre de suivre toutes les informations sur les JO 2024 de Paris.

Les grands moments, les questions que tous les Français se posent avec les Jeux olympiques et paralympiques, ne ratez rien à un an jour pour jour de la cérémonie d'ouverture sur la Seine.

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