Cyclisme : Degenkolb triomphe sur Paris-Roubaix

John Degenkolb - AFP
Victoire de Degenkolb !!!!
L’Allemand John Degenkolb (Giant-Alpecin) triomphe au sprint sur cette 113e édition de Paris-Roubaix. Le Tchèque Zdenek Stybar et le Belge Greg Van Avermaet terminent 2e et 3e. Le vainqueur du dernier Milan San Remo remporte encore la "Reine des Classiques". Magistral ! "C'était mon favori", jubile Cyrille Guimard.
Degenkolb rejoint les deux échappés !
L’Allemand John Degenkolb, vainqueur de Milan-San Remo, rejoint les deux Belges en tête de la course.
Deux Belges en tête
A 10km de l’arrivée, les Belges Van Avermaet (BMC) et Lampaert (Etixx) occupent la tête de la course. Problème mécanique pour Sagan qui, furieux, jette son vélo.
Guimard : « La course va devenir très stratégique »
Cyrille Guimard, à 14km de l’arrivée sur RMC : « La différence ce sera fera pas élimination. Il ne reste qu’une vingtaine de coureurs. La course va devenir très stratégique. »
Roelandts seul en tête au Carrefour de l'Arbre
Le Belge Jürgen Roelandts (Lotto-Soudal) attaque et distance le peloton à l'entrée du Carrefour de l'Arbre. Il compte 19'' d'avance.
Gougeard relance… en vain
Malgré sa longue échappée, le Français Alexis Gougeard (AG2R) n’est toujours pas fatigué. Il relance mais est vite repris par peloton.
Les échappés repris
Les quatre derniers rescapés de l’échappée sont repris à 23 km de l’arrivée.
Un groupe de quatre poursuivants à l'assaut des échappés
A 29 km de l’arrivée, Vandenbergh a été rejoint par Sinkeldam, Wynants et Quinziato. Ces quatre coureurs comptent 42’’ de retard sur la tête de course.
1’14 d’avance sur le peloton pour les échappés
A moins de 40 km de l’arrivée, les cinq hommes de têtes comptent 1’’14 sur le peloton et 51’sur Vandenbergh, intercalé.
Crevaison pour Démare !
Le champion de France est victime d’une crevaison ! La poisse pour le coureur FDJ.
Attaque de Vandenbergh, des Français en embuscade !
A environ 43 km de l’arrivée, le Belge Stijn Vandenbergh s’échappe du peloton. Les Français de la FDJ, Offredo et Démare suivent derrière.

Guimard : « Le futur vainqueur n’est pas parmi les échappés »
Cyrille Guimard, membre de la Dream Team, sur RMC : « Les échappés ont-ils encore une chance ? Ça me paraît très difficile d’autant qu’il y a des attaques incessantes derrière. Cet écart de 1’50 me fait dire que le futur vainqueur n’est pas parmi les échappés. »
Sagan accélère !
Le Slovaque Peter Sagan s’extirpe du peloton à 51km de l’arrivée. Dans la foulée, il y a eu une chute dans le peloton. Van Summeren, vainqueur en 2011, est tombé.
Les échappés dans le secteur pavés n°11
Les sept coureurs échappés sont sur le 11e secteur pavés long de 2,7km. « On pense maintenant que cette échappée est moins dangereuse pour les favoris de ce Paris-Roubaix », estime Cyrille Guimard. A 53 km de l'arrivée, l'écart est sous les 2 minutes.
Les Etixx, Sagan et Degenkolb se détachent
Le peloton s’est largement étiré avant de casser sous l’impulsion des Etixx. Sagan, Terpstra, Stybar, Boom et Degenkolb notamment ont résisté au sein d’un groupe de quinze coureurs à l’avant.
Kristoff et Wiggins piégés
Alexander Kristoff (Katusha) et Bradley Wiggins (Sky) ont fait les frais de l’accélération de l’équipe Etixx et sont lâchés par le peloton.
Etixx hausse le ton
La formation Etixx accélère et crée même des bordures.
4’27 d’avance pour les échappées
Il resté désormais 70km à couvrir pour les échappées. L’écart s’est amoindri (4’27) mais l’entente est bonne entre les sept coureurs.
Greipel durcit le ton
Le champion d’Allemagne de l’équipe Lotto-Soudal, André Greipel, accélère en tête du peloton.
Geraint Thomas à terre
Le coureur de la Sky, Geraint Thomas, chute après être monté sur un trottoir. Le dernier vainqueur du GPE3 semble ne parait pas s'en être sorti indemne.
Cancellara aux aguets
Fabian Cancellara est forfait mais bien devant son poste de télévision. Sur Twitter, le Suisse, triple vainqueur de l’épreuve, rappelle qu’il est formellement interdit de franchir un passage à niveau.
Les attardés attendus
Une moto de l’organisation de l’épreuve impose aux coureurs, qui ont escamoté le passage à niveau, de ralentir.
Un passage à niveau s’invite dans la course
Coup de théâtre sur ce 113e Paris-Roubaix. A environ 85km de l’arrivée un passage à niveau interrompt le peloton. Certains, dont Arnaud Démare, esquivent malgré tout les barrières.
Wiggins rejoint le peloton
A la sortie de la Trouée d’Arenberg, le peloton se reconstitue. Bradley Wiggins (Sky) fait son retour.
BMC Racing accélère
La formation BMC Racing, menée par le Belge, Greg Van Avermaet, 3e du dernier Tour des Flandres, durcit le ton, à l’avant du peloton.
Wiggins cède du terrain
Le peloton dans la Trouée d’Arenberg
Saramotins tente de s’extraire
Aleksejs Saramotins (IAM Cycling) accélère et laisse les sept autres échappées à environ trente mètres.
Plus que huit échappées
Sean De Bie (Lotto-Soudal) crève dans la Trouée d’Arenberg. L’échappée ne compte plus que huit coureurs.
C’est parti pour la Trouée d’Arenberg !
Avec 5’55 d’avance, les échappées se retrouvent désormais sur la fameuse Trouée d’Arenberg, au km 95.
Les échappées à l'abordage du secteur d’Haveluy
Les neuf échappées arpentent désormais le secteur 19, celui d’Haveluy, l’un des plus compliqués et le dernier avant la Trouée d’Arenberg.
Sagan tombe à son tour
Peter Sagan, l’un des prétendants à la victoire, vient de chuter. Rien de grave visiblement pour le Slovaque de Tinkoff-Saxo, qui vient de retrouver sa place dans le peloton.
Les échappées s’accrochent
Avant le secteur d’Haveluy, les échappées ont profité d’une phase de transition sur le bitume pour reprendre quelques secondes sur le peloton, moins impressionnant que sur les pavés. L’écart est de 6’48.
Westra à terre à son tour
Le Néerlandais d’Astana a, à son tour, vu les pavés de très près, lors d’une chute collective au sein du peloton.
Journée galère pour la FDJ
La FDJ vit un dimanche délicat. Alors que Matthieu Ladagnous a d’ores et déjà abandonné, à cause de vomissements, Yoann Offredo a chuté, après avoir essuyé deux crevaisons.
Le peloton réduit l'écart
Il reste 121,5km de course et l’écart entre les neuf hommes de tête et le peloton est retombé à 7 minutes.
Moncassin ne croit pas en Wiggins
Frédéric Moncassin, ancien coureur et ancien coach de l’équipe de France, sur RMC : « Je pense que l’année dernière, Bradley Wiggins a fait la performance de sa carrière en arrivant neuvième. C’est un coureur de contre-la-montre. Je l’ai vu pédaler, je ne pense pas qu’il possède les qualités pour gagner un Paris-Roubaix. Cette épreuve ce n’est pas seulement rouler sur les pavés. C’est la guerre avant chaque secteur. 180 coureurs ont pour ordre de rentrer dans 10 premiers. A 30 bornes on accélère, puis on se place. Tout le monde remonte, on se double sur les trottoirs. En filmant avec un drone, on verrait un truc de fou, un énorme spectacle. »
Chute à l’arrière
La Sky mène le peloton
La formation Sky a pris les choses en main au sein du peloton. L’équipe de Geraint Thomas et Bradley Wiggins mène la danse pour garder les échappées à portée.
Périchon, premier à crever
Pierre-Luc Périchon de l’équipe Bretagne-Séché, est le premier à essuyer une crevaison ce dimanche.
L’échappée aborde les pavés
Ca y est, ils y sont ! Km 98,5, les neuf hommes de tête négocient le premier secteur pavé. Situé à Troisvilles, le secteur est long de 2,2km
Ladagnous lâché par le peloton
Le coureur de la formation FDJ, Matthieu Ladagnous, victime de vomissements, est distancé par le peloton
Cyrille Guimard : « Il faut se faire respecter »
Cyrille Guimard, membre de la Dream Team RMC Sport : « Il faut être méchant pour gagner Paris-Roubaix. Il faut avoir la grinta, l’envie. Il faut se faire respecter. Et pour cela il faut avoir les jambes. »
Marc Madiot : « On n’est pas là pour être gentil »
Marc Madiot, manager de la formation FDJ, à l’antenne de RMC : « On n’est pas là pour être gentil. Ce n’est pas en faisant des courbettes et des politesses que l’on va s’imposer. »
Ladagnous est souffrant
Marc Madiot, manager de la formation FDJ, à l’antenne de RMC : « Ça pourrait aller mieux. On a un coureur malade. Matthieu Ladagnous a des vomissements. J’espère que ça va s’arranger. »
L’écart continue de grimper
On atteint le km 76 en tête de la course et l’écart entre les neuf échappées et le peloton flirte avec les 10 minutes. Au km 98,5, rendez-vous avec le premier secteur pavé.
5’10 d’avance pour les échappées
Partis au km 34 de ce 113e Paris-Roubaix, Gregory Rast, Adam Blythe, Alexis Gougeard, Sean De Bie, Aleksjes Saramotins, Pierre-Luc Périchon, Tim Declercq, Frederik Backaert et Ralf Matzka comptent désormais 5’10 d’avance après 73 kilomètres.
L'écart se creuse
Les neuf hommes de tête, qui arrivent au km 62, comptent désormais 2'55 d'avance sur le peloton.
Neuf hommes en tête
Gregory Rast, Adam Blythe, Alexis Gougeard, Sean De Bie, Aleksjes Saramotins, Pierre-Luc Périchon, Tim Declercq, Frederik Backaert et Ralf Matzka ont attaqué au km 34, prenant rapidement 20 secondes d'avance sur le peloton.
Les mots forts de Madiot
Double vainqueur (1985, 1991), Marc Madiot entretient une relation à part avec « l’Enfer du Nord ». Une attirance unique que le manager de la FDJ, qui tentera de mener Arnaud Démare (12e et meilleur Français l’an dernier) au succès ce dimanche, raconte avec ses mots de passionné. A lire en cliquant ici.
C'est parti !
A 10h30, les 200 engagés de Paris-Roubaix se sont élancés de Compiègne pour cette 113e édition de l'Enfer du Nord.
De l’huile sur les pavés
Si les conditions s’annoncent idéales pour ce 113e Paris-Roubaix, l’imprévu n’est jamais bien loin… « Aujourd’hui, la grosse tension c’est l’état des pavés. Je viens d’apprendre que quelqu’un a roulé sur les pavés et a cassé son carter, explique le directeur de course, Thierry Gouvenou. On va être obligé de nettoyer un peu ça. C’est que de l’huile sur les pavés, ça glisse énormément… On 4-5 heures pour réaliser l’opération, ça devrait se faire facilement. »
Wiggins 34 ans après Hinault ?
Pour sa dernière grande course sur route, Bradley Wiggins va tenter de devenir le premier vainqueur du Tour de France (2012) à également s’imposer sur les pavés de Paris-Roubaix depuis Bernard Hinault en 1981.
Départ décalé pour cause de… beau temps
La course s’élancera finalement à 10h30 devant le palais impérial de Compiègne, soit dix minutes plus tard que l’horaire prévu. Directeur de course, Thierry Gouvenou explique pourquoi au micro de RMC Sport : « On a des conditions idéales, il n’y a pas trop de vent. On pense que l’on sera dans une moyenne horaire assez haute. Pour rester dans des créneaux raisonnables, on a décidé de décaler le départ. On s’adapte à la météo. Les conditions sont idéales pour les coureurs qui sont un peu plus justes… Pour les grands favoris, ça peut-être manquer un peu de difficulté. »
Tout ce qu'il faut savoir avant la course
Petit échauffement avant le départ avec ce tour d'horizon de l'Enfer du Nord version 2015. Parcours, favoris, chances françaises, c'est ici !
Bonjour
Bienvenue pour suivre en direct et en intégralité la 113e édition de Paris-Roubaix. Après un départ de Compiègne à 10h15, la reine des classiques « offrira » à ses participants un parcours de 253,5km parsemé de 27 secteurs pavés à partir de Troisvilles (Km 98,5). L’arrivée au vélodrome de Roubaix est prévu vers 16h45.