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PSG: Al-Khelaïfi réagit à la perquisition de la justice française contre lui

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Arrivé en retard pour la présentation de Luis Enrique au Paris Saint-Germain mercredi, Nasser Al-Khelaïfi a également dû gérer une affaire avec la justice au moment de sa descente d'avion. Le président du PSG a maintenu sa position dans le cadre de cette affaire de soupçons de trafic d’influence autour du club de la capitale.

Arrivé mercredi en France pour la présentation de Luis Enrique au PSG, Nasser Al-Khelaïfi a été accueilli par un juge d'instruction à sa descente d'avion. Si le président parisien a signé une décharge pour la perquisition de son domicile afin de pouvoir se rendre à la conférence de presse avec l'entraîneur espagnol, le Qatarien a réagi ce jeudi à ce nouveau rebondissement dans le cadre de l’affaire des soupçons de trafic d’influence autour du club de la capitale.

"Comme prévu et conformément à l’application régulière de la loi, le magistrat chargé de l’enquête a demandé plus d’informations et d’accès, a indiqué un porte-parole du président du PSG via un communiqué transmis à RMC Sport. Ils ont été entièrement et ouvertement fournis, en coopération avec les autorités, comme cela a été le cas dès le premier jour."

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"Al-Khelaïfi est une victime dans cette affaire"

En retard pour la conférence de presse de Luis Enrique à Poissy, le président du PSG n'a toutefois pas imputé ce décalage de la présentation du technicien espagnol à cette rencontre avec un juge d'instruction. L’absence de Nasser Al-Khelaïfi à l’heure prévue était dûe au vol, retardé pour des raisons familiales. Le document a mis cinq minutes à être signé et surtout le dirigeant qatarien estime toujours ne rien avoir à se reprocher dans cette affaire. Bien au contraire.

"Pour rappel, Nasser Al-Khelaïfi est une victime dans cette affaire. Et le retard de la conférence de presse n’était pas pour cette raison, a poursuivi le clan du président dans le communiqué transmis à la presse. Aucune interview avec les médias ni aucune séance d’information désespérée par certains protagonistes ne changera la primauté du droit ni l’issue de l’affaire, dont nous attendons avec impatience la conclusion."

JGL avec Arthur Perrot