EN DIRECT - Coupe du monde de rugby: la compo des All Blacks contre l'Irlande

France-Afrique du Sud: pour Steyn, le match "se jouera probablement sur une décision d'arbitrage"
L'ancien arrière des Springboks François Steyn, également passé par le Racing 92 et Montpellier, s'est confié pour Midi Olympique sur le quart de finale à venir entre les Bleus et l'Afrique du Sud, dimanche à 21 heures.
Le double champion du monde (2007, 2019) explique qu'il s'agit du match "que tout le monde attend depuis quatre ans", mais révèle avoir peur que cette rencontre se joue "sur une décision d'arbitrage, un carton rouge tiré par les cheveux ou un coup d'esbroufe de leur nouveau truc là, le "bunker"..." Pour autant, cela ne fait pas de doutes pour Steyn : "le vainqueur sera champion du monde".
Lomax aligné avec les All Blacks contre l'Irlande
Le pilier droit néo-zélandais Tyrel Lomax, touché à un genou face à l'Uruguay figure bien dans le XV de départ pour le quart de finale face à l'Irlande samedi (21h), selon la composition dévoilée jeudi. Incertain en raison d'une lésion au ligament latéral interne, Lomax doit donc tenir sa place, à l'inverse du virevoltant ailier Mark Telea, absent du groupe pour affronter le XV du Trèfle.
Le futur trois-quarts de Toulon, Leicester Fainga'anuku lui est préféré sur le côté gauche. Ce cas mis à part, Ian Foster aligne son équipe type, celle qu'il n'avait pu aligner contre la France en ouverture, Lomax, Shannon Frizell et finalement le capitaine Sam Cane étant blessés. Sans surprise, les frères Beauden, Jordie et Scott Barrett doivent débuter le match. De même donc que le capitaine Sam Cane et le flanker Shannon Frizell, facteur X des All Blacks lors de leur coup de force contre l'Afrique du Sud en Rugby Championship cet été (35-20).
En troisième ligne, ils auront fort à faire face à leurs redoutables homologues irlandais Josh Van der Flier, Caelan Doris et Peter O'Mahony. Sur le banc, le deuxième ligne Samuel Whitelock, champion du monde 2011 et 2015, devrait glaner une 151e et peut-être ultime sélection avec le XV à la Fougère puisqu'il doit prendre, à l'issue de la Coupe du monde, sa retraite internationale.
L'équipe de Nouvelle-Zélande pour affronter l'Irlande en quart de finale :
B. Barrett - Jordan, Ioane, J. Barrett, Fainga'anuku, - (o) Mo'unga, (m) Smith - Cane (cap.), Savea, Frizell - S. Barrett, Retallick - Lomax, Taylor, De Groot
Remplaçants : Coles, Williams, Newell, Whitelock, Papali'i, Christie, McKenzie, Lienert-Brown
Galthié s'est vu remettre un maillot du club de rugby du Vatican dédicacé par le pape
En visite ce jeudi sur le chantier de la cathédrale Notre-Dame de Paris, Fabien Galthié et les Bleus du XV de France ont mis un peu de côté leur affrontement décisif, dimanche soir (21 heures), contre l'Afrique du Sud en quarts de finale de la Coupe du monde de rugby.
En marge de cette visite, le sélectionneur français a offert une tunique signée par tous les joueurs à l’évêque auxiliaire de Paris, Philippe Marsset, lequel en échange lui a remis un maillot du club de rugby du Vatican signé par le pape François.

Israël-Gaza: vers un hommage aux victimes avant France-Afrique du Sud?
Les autorités françaises travaillent sur un hommage aux victimes en marge du match France-Afrique du Sud de dimanche au Stade de France. Rien n’est encore acté car les organisateurs veulent limiter les risques de perturbations comme des sifflets à l’intérieur de l’enceinte.
LB
"Violents? C'est la première fois que j'entends ça", répond le talonneur sud-africain à Servat
Bongi Mbonambi, talonneur de l'Afrique du Sud, a réagi aux propos de William Servat la veille sur la "violence que les Sud-Africains peuvent mettre dans les matchs:
"C'est la première fois que j'entends ça mais bien sûr qu'en tant que Sud-Africains, notre physicalité fait partie de nous. Le pack français aime aussi être dans la confrontation. Nous allons clairement nous appuyer là-dessus. Nous allons nous exprimer en tant que Sud-Africains. C'est un match de rugby, c'est un sport de collision et nous adorons les collisions. Je ne pense pas qu'ils reculeront. Mais encore une fois c'est un match de rugby, un sport de collision et c'est une chose que nous adorons."
Afrique du Sud: la compo des Boks (presque) arrêtée, le doute subsiste à l'ouverture
Les Sud-Africains se sont entraînés ce jeudi matin au stade Omnisport de Croissy, dans les Yvelines, à parti de 11h. Sous un ciel gris mais pas sous la pluie, les coéquipiers de Siya Kolisi se sont échauffés quinze minutes devant les caméras d'une dizaine de journalistes.
Le capitaine des Boks arborait toujours un large bandage sur son genou droit, opéré il y a quatre mois, comme c'est le cas depuis le début du Mondial. Lors de cette phase d'échauffement, certains trottinaient, d'autres s'étiraient tandis que le demi de mêlée Faf de Klerk ainsi que son remplaçant Cobus Reinach faisaient des chandelles que s'appliquaient à rattraper, en l'air, Damian Willemse (arrière) et Cheslin Kolbe (ailier ou arrière). Tous deux devraient être titulaires face aux Bleus.
La plus grosse incertitude aujourd'hui concerne le demi d'ouverture aligné contre la France. Qui de Manie Libbok ou Handré Pollard portera le n°10? Le premier, en difficulté face aux perches dans la compétition, s'est en tout cas beaucoup entraîné à buter, seul, lors du début de l'entraînement. Pollard, lui, discutait et faisait quelques exercices de passes.
Le staff, qui a arrêté la composition d'équipe dans sa quasi-totalité mercredi matin en interne, ne la dévoilera que ce vendredi. Le mystère autour du poste d'ouvreur reste présent. Après la partie ouverte aux médias, les Boks ont travaillé quelques lancements de jeu, notamment en sortie de mêlée.
Il y avait deux groupes: un en chasuble blanc, l'autre avec la tenue noire d'entraînement. Libbok a d'abord porté la tenue noire, avant de mettre la chasuble blanche, tandis qu'en face Faf de Klerk et Handré Pollard travaillent ensemble. Un indice? Tout est à prendre avec une grande prudence car l'Afrique du Sud brouille les pistes sur ce poste de n°10. (VJ)
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La compo du pays de Galles pour son quart face à l'Argentine
Touché aux pectoraux, Dan Biggar est finalement bien présent dans la compo annoncée par Warren Gatland.
Le XV gallois: Liam Williams - Louis Rees-Zammit, George North, Nick Tompkins, Josh Adams - Dan Biggar, Gareth Davies - Jac Morgan, Aaron Wainwright, Tommy Reffell- Adam Beard, Will Rowlands - Gareth Thomas, Ryan Elias, Tomas Francis.
Les remplaçants : Dewi Lake, Corey Domachowski, Dillon Lewis, Dafydd Jenkins, Christ Tshiunza, Tomos Williams, Sam Costelow, Rio Dyer.
Antoine Dupont déjà bouillant à l'entraînement
Dans une courte séquence partagée par le compte X du XV de France, on peut voir qu'Antoine Dupont semble avoir retrouvé tous ses moyens, au moins dans le jeu au pied. C'est cadeau.
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Vers un coup de poker de l'Angleterre face aux Fidji
Marcus Smith devrait débuter à l'arrière le quart de finale du Mondial 2023 ce dimanche entre l'Angleterre et les Fidji (17h). Valeur sûre depuis le début de la compétition, George Ford risque de prendre place sur le banc alors que le sélectionneur Steve Borthwick a choisi d'aligner Owen Farrell à l'ouverture.
Le Fidjien Matevesi incertain contre l'Angleterre après le décès de son père
Le talonneur fidjien Sam Matavesi est incertain pour le quart de finale contre l'Angleterre dimanche (17h) après avoir dû regagner ce pays après le décès de son père. L'entraîneur fidjien du jeu au pied Seremaia Baï a précisé mercredi que Matavesi était retourné en Angleterre, pays où il est né, mardi dernier.
C'est le deuxième deuil à frapper l'équipe des Fidji lors de la Coupe du monde après la mort du fils de Josua Tuisova, âgé de 7 ans. Mais Tuisova, lui, a fait le choix de rester avec sa sélection et de manquer les funérailles de son fils aux Fidji.
Sireli Matavesi, le père de Sam, était lui-même un joueur de rugby qui s'était établi dans les Cornouailles (sud-ouest de l'Angleterre) après une tournée dans ce pays dans les années 1980. Ses trois fils se sont aussi illustrés dans ce sport, Sam et son frère Josh étant sélectionnés dans l'équipe nationale.
Une décision définitive concernant la participation de Sam Matavesi, 31 ans, au match contre l'Angleterre sera prise d'ici deux jours, a précisé Seremaia Baï.
L’arbitre français choisi pour le quart Angleterre-Fidji n’est pas vraiment au goût des Anglais
Le choix de Mathieu Raynal pour arbitrer le quart de finale dimanche (17h) entre les Anglais et les Fidjiens, qui désignera le potentiel adversaire des Bleus en demi-finale de la Coupe du monde de rugby, est contesté. Surtout par les supporters du XV de la Rose.
>> La grogne des supporters anglais après la désignation d'un arbitre français pour Angleterre-Fidji
"On adore le côté physique du rugby", Bakkies Botha raconte l'agressivité du jeu sud-africain
Dimanche, le XV de France affronte les Springboks, en quart de finale de la Coupe du monde (21h), dans une rencontre qui risque d'être un sacré défi physique pour les deux équipes. L'agressivité fait partie de l'ADN des Boks, rappelle Bakkies Botha, international sud-africain entre 2002 et 2014.
Fin de la conférence de presse des Bleus
C'est fini pour la conféfence de presse du jour XV de France.
Anthony Jelonch sur sa montée en puissance au Mondial
"Match après match je me suis senti de mieux en mieux. Quand on retrouve les bons repères, si on est en face des mecs et en bonne position c'est plus facile pour mettre un caramel. J'ai bien repris le rythme, je suis en forme et j'ai hâte d'être à dimanche face aux Sud-Africains."
Grégory Alldritt sur la discipline
"Ce sera hyper important. Moins on donne de cartouches à l'adversaire mieux c'est. Ils ont une conquête importante donc si on peut éviter de leur donner des pénaltouches cela sera bien. La disicpline sera importante."
Grégory Alldritt sur Cyril Baille
"J'adore jouer avec Cyril. Il donne tout sur le terrain et sait se transcender dans les grands matchs. Il va se donenr à 1000% et je suis sûr qu'il sera présent dimanche."
Anthony Jelonch sur Greg Alldritt
"Je suis avec lui 24/24 donc je peux en parle facilement. Quand il parle dans le vestiaire il est écouté. C'est un leader."
Grégory Alldritt sur la physicalité de l'Afrique du Sud et les armes des Bleus en face
"Je pense que le XV de France a aussi des joueurs qui tapent fort. On a parfois tendance à l'oublier parce qu'on a la chance d'avoir des joueurs qui sont des extra-terrestres comme Damian Penaud ou Antoine Dupont. Mais on a des joueurs qui tapent fort comme Jonathan Danty derrière. Des joueurs qui savent apporter beaucoup de physicalité dans les matchs comme Uini Atonio, Peato Mauvaka, comme Cyril Baille ou comme Sébastien Taofifenua quand il rentre. Je pense qu'on a les armes pour répondre mais il va encore falloir faire encore mieux et plus que d'habitude face aux Springboks.Mais je ne suis pas inquiet sur nos armes."
Grégory Alldritt sur le coup de bluff possible des Boks avec la compo
"On ne se concentre pas sur l'annonce de leur composition d'équipe mais sur leur rugby. On ne change pas un style en quatre jours et ils ont une forme de rugby depuis plusieurs années. On a un gros test en ouverture contre les All Blacks puis des matchs où on a testé notre rugby. On sait qu'on va avoir un gros match, un très très gros match ce dimanche."
Anthony Jelonch sur le test-match de novembre
"C'était un match très physique et on aime bien jouer ce genre de match. Je pense que eux aussi attendront ce match. On s'attend un match encore plus dur ce dimanche."
Anthony Jelonch sur Charles Ollivon
"On connait ses qualités. Il va peut-être plus vite que nous (sourire) et c'est peut-être pour ça qu'il marque plus d'essais. Il fait souvent les bonnes courses de soutien."
Grégory Alldritt sur la troisième ligne des Boks
"Elle donne beaucoup, il y aura un beau challenge face à eux. Je pense qu'ils sont assez proches de nous et cela fera un beau duel."
Anthony Jelonch sur son duel face à Siya Kolisi
"C'est vrai qu'il est revenu encore plus vite que moi, il a rejoué en trois mois et demi. C'est un grand joueur et un grand capitaine des Sudaf. C'est un joueur qui donnera tout ce week-end. C'est un grand honneur de jouer contre lui."
Anthony Jelonch sur les Boks avec 7 avants sur le banc
"On verra s'ils le font. On s'attend à une équipe très costaud en face, ils ne lâcheront rien. A nous de répondre présent sur la physicalité."
Anthony Jelonch sur sa forme pendant le Mondial
"Dès le début je me suis senti assez bien sur le terrain. Contre la Namibie je me suis senti mieux et contre l'Italie je suis encore monté en puissance. Mon genou va bien, je n'ai pas de douleur. Impatient de jouer dimanche et je me suis bien préparé pendant six mois."
Gregory Alldritt sur le duel physique face aux Boks
"On continue de progresser match après match et eux aussi progressent. On verra dimanche. On sait leur façon de jouer et cet ADN basé sur le physique et l'intensité. On la vu sur notre dernier match à Marseille, ils sont là pendant 80 minutes donc il faudra répondre présent."
Gregory Alldritt sur la gestion des émotions pour le quart
"On continue à travailler cet aspect-là. On ne veut pas laisser la place au hasard. Cela fait quatre ans que l'on travaille dur, on a joué des gros matchs en club et en sélection. Contre les Blacks je crois qu'on est devant à la pause et j'espère que cela sera le cas."
Gregory Alldritt sur Antoine Dupont
"Il a une blessure à la tête donc si on touche à la tête c'est carton rouge donc ils ne feront pas n'importe quoi. Il a eu le feu vert de son chirurgien et s'il dit qu'il peut jouer c'est qu'il est en pleine capacité."
William Servat sur Cyril Baille
"Il a su revenir après sa blessure. Il fait partie de cette équipe depuis quatre ans et donne de la confiance aux autres. Il est bien revenu dans la compétition. On dit que les grands joueurs sont là dans les grands moments et dimanche ce sera un grand moment. Nos joueurs auront à coeur de montrer qu'ils sont prêts. Ils se sont préparés pour ça, pour relever ce défi et cet affrontement."
William Servat sur le retour de Jelonch
"Depuis ses débuts jusqu'à aujourd'hui, il a toujours fait preuve de densité physique et il répond à l'adversaire. Sa capacité à revenir si vite n'est pas incroyable car c'est lié à sa manière de s'acharner au travail. Il y a un travail de qualité avec son chirurgien, son club et le staff de l'équipe de France. Quand on est joueur de haut niveau, les blessures peuvent vous diminuer physiquement ou au contraire vous permettre de revenir plus fort. C'est ce cas là pour Anthony. En plus Anthony a une relation particulière avec les autres joueurs de l'équipe comme Antoine Dupont, Cyril Baille ou son compagne de chambrée Grégory Alldritt. Le groupe est vraiment composé de joueurs comme Anthony, des joueurs capables de se donner pour l'équipe et donner plus pour les autres qu'ils ne sont supposés le faire. Cela peut faire la différence dans les matchs comme celui qui nous attend."
William Servat ne veut pas donner d'indice sur la compo des Bleus
"La composition d'équipe arrivera très vite, Fabien la présentera. Une chose nous parait évidente, on s'attend à beaucoup de combativité et à une équipe très dense contre nous dimanche."
William Servat sur les mêlées de l'Afrique du Sud
"Je pense que c'est l'une des meilleures mêlée au monde. En 2019, ils ont gagné grâce à cette mêlée. Il faudra qu'on soit présents dans ce domaine dimanche."
William Servat sur Galthié et son état d'esprit
"Vous l'aurez bientôt donc vous pourrez lui poser la question en direct. Fabien Galthié a évolué depuis sa prise de mandat et sa participation au Mondial 2019. Il y a un événement incroyable qui approche, comme entraîneur on passe des saisons à se préparer pour des moments pareils et pour la phase finale. C'est une expérience incroyable. Fabien a vécu cinq Coupes du monde. On essaye de se préparer au mieux à ce quart de finale."
William Servat sur la pique d'Erasmus et les Français qui simulent
"Je pense qu'il n'y a pas forcément beaucoup de choses à interpréter. Rassie Erasmus est quelqu'un de rompu à ces exercices médiatiques. Aujourd'hui, on sait l'intensité et la violence que l'Afrique du Sud peut mettre dans les matchs. Je n'ai pas d'interprétation à avoir. Ses propos m'importent peu pour être tout à fait honnête. Ce qui est important c'est de faire en sorte que nos joueurs soient préparés du mieux possible à cette possibilité d'agression qu'il peut y avoir sur le terrain."
William Servat sur la gestion de Dupont
"C'est un des plus gros défenseurs de l'équipe depuis des années. Il est 100% de ses capacités et il n'y a pas de raison de changer quoi que ce soit."
William Servat sur l'aspect physique du quart de finale
"Le Portugal a montré l'importance du combat dans notre sport. Quand il y a l'état d'esprit on peut faire des choses incroyables dans ce sport. L'Afrique du Sud a une équipe très dense et elle cultive cette particularité avec une énorme physicalité. L'équipe de France avec notre côté latin et notre fierté a des joueurs capables de relever le défi comme on l'a fait à Marseille. Je pense que la rencontre sera d'une intentisé assez rare. Vu le dernier match à Marseille, j'espère qu'il y aura assez de monde sur le côté pour les protocoles commotion."
William Servat sur Antoine Dupont
"Antoine se porte très bien. Il a toujours été impliqué même pendant sa période de repos. Il est resté impliqué sur les choix tactiques même à distance. Il est encore plus concerné car il est revenu, il participe de manière très active à l'entraînement, aux séances vidéo et tout ce qui fait le jeu de l'équipe de France."
Servat sur les choix tactiques du staff en troisième ligne
"La troisième ligne est une composante forte mais comme le sont les autres postes. On fait nos choix aussi en fonction de la complémentarité avec les autres joueurs du pack. On fait aussi en fonction de l'adversité. Contre l'Italie on avait une troisième ligne pouvant répondre dans tous les registres avec Aldritt, Jelonch et Ollivon. Ce sont des leaders du groupe et des capitaines potentiels du XV de France. C'est un équilibre à trouver dans la conquête, la défense, le jeu aérien et l'équilibre général."
La conf' de presse des Bleus va commencer
William Servat ainsi qu'Anthony Jelonch et Grégory Alldritt vont se présenter dans quelques instants face à la presse. Un rendez-vous médiatique organisé à quatre jours du quart de finale contre les Springboks.
Pas encore de contacts pour Dupont, les enseignements de l'entraînement des Bleus
A quatre jours du choc face à l’Afrique du Sud en quart de finale de Coupe du monde, le capitaine des Bleus semble toujours préservé à l’entraînement même si la séance de ce mercredi était moins intense que prévu pour toute l’équipe.
Comme la veille, Antoine Dupont portait bien un casque noir à liseré blanc pendant l’entraînement du jour, ce mercredi à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Le demi de mêlée à participé à l’opposition avec ses coéquipiers. Une séance supposée être à haute intensité mais qui a davantage ressemblé à une opposition dite raisonnée.
Comme lors de la séance de mardi, Antoine Dupont a évité les contacts et il s’est contenté de couvrir le côté fermé en défense et d’alimenter le jeu offensivement en éjectant le ballon autour des rucks.
Sur les replis défensifs, les joueurs n’allaient pas percuter le capitaine préférant passer par le sol. Une adaptation en défense temporaire pour persévérer le capitaine ou une tendance pour dimanche? Le staff tricolore apportera certainement des réponses dans la semaine.
L’autre enseignement de la séance c’est que l’équipe de France se dirige de nouveau vers un banc en 6-2. Devant pour accompagner Aldegheri, Bourgarit, Wardi et Taofifenua, le staff pourrait utiliser Cros et Macalou en finisseurs.
Derrière, Moeafana pourrait être préféré à Jaminet sur le banc. Les qualités défensives du bordelais seraient dans ce cas là privilégiées si les Bleus s’adaptaient défensivement.
Signe de cette tendance, Ramos, Jalibert et Lucu se sont entraînés à butter en fin de séance. Alors que Jaminet se dirigeait vers le banc de touche. L’équipe sera annoncée vendredi par Fabien Galthié.
Julien Landry
La tendance se confirme pour une titularisation de Dupont
Revenu cette semaine à l'entraînement collectif, Antoine Dupont a effectué la séance de mercredi avec les habituels titulaires du groupe tricolore.
Apparu casqué lors de l'oppositon, le demi de mêlée semble bien se diriger vers une titularisation lors du quart de finale entre les Bleus et l'Afrique du Sud. Absent contre l'Italie, le capitaine français retrouverait donc sa place en charnière avec Matthieu Jallibert.
Avec WC et WT
La vidéo d'Antoine Dupont avec son casque à l'entraînement
Revenu cette semaine à l'entraînement collectif, Antoine Dupont continue de se tester avec un casque sur la tête avant le quart face à l'Afrique du Sud.
Découvrez les images de la séance du jour du demi de mêlée dans la vidéo ci-dessous.
"Ravis de ce rôle": face aux Fidji, le XV anglais pas gêné d'être "l'ennemi public n°1"
Les Anglais ennemis publics n°1 du public français? Pas de problème pour le troisième ligne du XV de la Rose Billy Vunipola.
Interrogé sur la possible hostilité du public du stade Vélodrome, qui accueillera leur quart de finale face aux Fidji, le n°8 anglais s'est dit en paix avec ce statut de "méchant". "Je ne dirais pas que les Fidji sont leur deuxième équipe préférée, je dirais plutôt que l'Angleterre est leur première équipe détestée", a répondu Billy Vunipola.
"S'il faut être l'ennemi public n°1, on sera ravi de tenir ce rôle", a-t-il conclu.
La première image de Dupont avec un casque
Apparu sans casque ce mardi à l'entraînement des Bleus ouvert à la presse, Antoine Dupont a ensuite enfilé cette protection pour se tester sur le terrain.
Un fidèle auditeur du Super Moscato Show sur RMC est parvenu a prendre un cliché de la scène. Voilà à quoi pourrait ressembler le capitaine des Bleus lors du quart de finale prévu dimanche contre l'Afrique du Sud.

L'Afrique du Sud sauve son hymne et son drapeau in extremis avant son quart face à la France
Les joueurs de l'Afrique du Sud pourront chanter leur hymne, derrière leur drapeau, dimanche lors de leur quart de finale de la Coupe du monde face à la France (21h, Stade de France).
L'Afrique du Sud a fait appel mardi d'une décision de l'Agence mondiale antidopage (AMA), pour éviter l'application de sanctions immédiates qui menaçaient notamment son équipe de rugby engagée dans la Coupe du monde en France. Mardi soir, l'AMA a indiqué avoir reçu la "notification formelle" de l'appel et confirmé que "l'allégation de non-conformité est mise en suspens et les conséquences ne s'appliqueront pas tant que le TAS n'aura pas rendu sa décision".
Le pays des Springboks avait jusqu'à vendredi pour mettre sa législation antidopage en conformité avec le nouveau Code mondial antidopage de l'AMA, sous peine de sanctions comme l'interdiction de hisser son drapeau, de porter son maillot habituel ou de jouer son hymne national. Vu l'échéance il est presque certain que Pretoria ne sera pas aux normes dans les délais.
L'appel interjeté auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS) à Lausanne, en Suisse, vise à "retarder" les effets de la décision de l'AMA et ainsi permettre d'épargner au pays un embarras majeur, a déclaré le ministre des Sports Zizi Kodwa, lors d'une conférence de presse sur ce sujet sensible.
"Cela signifie que le déploiement du drapeau sud-africain lors d'événements tels que les Coupes du monde de cricket et de rugby ne sera pas affecté tant que le TAS n'aura pas statué sur cette affaire", a expliqué M. Kodwa.
"Je pense qu'ils simulent parfois", la petite pique d'Erasmus aux Bleus
Présent ce mardi face à la presse à cinq jours du duel contre la France, Rassie Erasmus a lancé une petite pique aux Français qui savent parfaitement pousser l'arbitre à siffler dans leur sens. Au point parfois de "simuler" selon le technicien sud-africain.
"La France ne joue pas un rugby violent. Ce que les Français font de bien, c'est que quand il y a une situation de plaquage haut, ils le montrent à l'arbitre, a indiqué le directeur du rugby des Springboks face aux médias. Je pense qu'ils simulent parfois, ce qui est intelligent. Dans certaines situations, l'arbitre va ainsi avoir recours à la vidéo, et c'est là où les Français sont malins. Ils n'utilisent pas de mauvais tours dans les mêlées ou dans les mauls, ils sont juste physiques, et c'est le genre d'équipe qu'on respecte et qu'on veut affronter."
Le message amusé de Dupont sur les réseaux sociaux
Dupont est heureux d'être de retour avec le reste des Bleus à l'entraînement. Le demi de mêlée l'a bien savoir pour sa reprise des exercices avec contact.
"Retour vers le futur", s'est amusé le capitaine tricolore dans un message publié les réseaux sociaux. Un retour au charbon avec le reste de ses partenaires avant le quart contre l'Afrique du Sud.
Fin de cette conférence de presse
Les deux joueurs quittent la salle de presse.
Wardi sur la préparation
"Il y a énormément d'excitation et d'engouement. On aura l'occasion d'accéder à une demi-finale, mais on essaye de tempérer ça dans le groupe. Il y a pas mal de relâchement et de moments de cohésion".
Flament sur Etzebeth
"C'est une oppsition de style, Etzebeth est aussi très mobile et adroit. Il est aussi dans ce registre. Mais on veut faire le meilleur match possible et s'inscrire dans le collectif".
Wardi sur la préparation du match
"C'est un match à élimination directe. On est préparés à performancer et à démarrer ce type de rencontre de la meilleure des manières".
Flament sur l'enjeu
"C'est comme contre l'Italie, si on gagne, on continue et si on perd, on s'arrête. Il y a beaucoup d'enjeux mais le groupe est prêt pour ce match".
Flament sur le duel de dimanche
"C'est un honneur de pouvoir jouer contre cette deuxième ligne, c'est aussi un challenge. J'ai hâte de pouvoir être sur ce match".
Wardi sur l'Afrique du Sud
"On a eu la chance de les affronter cet hiver. C'est un indicatif supplémentaire pour nous. Le groupe est prêt pour ce type de rencontres. Ils sont physiques et connus pour ça, c'est un adversaire qui essaye de marquer son adversaire et mettre un jeu d'avants pour démontrer sa force".
Wardi sur Dupont
"On l'a trouvé pareil, il n'y a pas eu de changement sur l'entraînement ou de mots pour le protéger. Il s'est entraîné de manière normale, il n'y a eu aucun changement".
Flament sur sa progression
"Mon repositionnement en 5 a fait que j'ai dû apater mon jeu et ma façon d'aborder les matchs et j'essaye de me concentrer sur les tâches obscures. Sur la préparation, j'aime bien écrire, ça m'aide à enlever la pression et anticiper ce qu'il va sepasser le jour du match et être en maîtrise".
Flament sur le dernier match contre les Spingboks
"J'étais sorti tôt mais on c'était intense, rugueux, physique et frontal. On s'attend au même type de rencontre".
Flament sur la touche sud-africaine
"On a travaillé hier et aujourd'hui pour voir comment ils se plaçaient, c'est quelque chose qu'on peaufine tout au long de la semaine, on essaye de préparer ça au mieux".
Labit sur les conditions de jeu
"La température va baisser mais au coup d'envoi, elle va remonter. On n'est pas inquiét sur un coup de chaud ou de froid. On sait où on va mettre les pieds et face à qui. On a beaucoup de respect pour cette équipe et ce qu'elle a fait. Elle est inspirante pour nous par rapport à son parcours".
Labit sur la stratégie des Bleus
"Quand on a joué l'Afrique du Sud en novembre dernier, on avait décidé de fermer le jeu et d'essayer de prendre un minimum de risques. On avait des opportunités à jouer mais on est tellement rester dans le schéma qu'on a manqué d'ambitions. On a pris en compte ça. Sur un quart de finale de Coupe du monde, les espaces seront-ils là ou pas? La priorité sera de contenir cette équipe et de trouver les espaces".
Labit sur l'entraînement de Dupont
"C'était un entraînement à une intensité modérée. Il ne peut pas créer des situations. Ce qui est arrivé sur le match, ce sont des faits rares et involontaires. Antoine a le feu vert pour faire sa reprise, il s'est concentré sur le rugby et s'est reconnecté avec l'équipe, le jeu collectif. Beaucoup de choses sont à voir".
"Une décision sera prise en fin de semaine", explique Labit sur le port du casque de Dupont
"Il a voulu se tester, voir si ça le gêne ou non, au niveau de la vision et de l'audition. Pour l'instant ce sont des essais avec et sans le casque. Une décision sera prise en fin de semaine".
Labit: "Si Dupont est sur le terrain, c'est qu'il est 100%"
"S'il est sur le terrain, c'est qu'il est 100% sur le plan mental et physique, poursuit Labit sur Antoine Dupont. Quand il est à 100%, c'est difficile de faire un marquage sur lui. C'est un joueur important mais d'autres joueurs sont à surveiller".
Labit: "On est satisfait du retour de Dupont"
En conférence de presse, l'entraîneur des arrières évoque le retour d'Antoine Dupont à l'entraînement: "On est soulagés, ça fait une force de plus pour l'équipe, même si on a un groupe de 33 joueurs sur lesquels on peut compter, on l'a vu sur le match contre l'Itlaie. On connait l'importance et le rôle qu'il a, c'est le capitaine de l'équipe et on est satisfait de son retour".
Les Springboks tentent le coup de bluff
Un coup de bluff? Alors que depuis le début de la compétition, l'Afrique du Sud dévoile sa composition d'équipe quatre jours avant ses matchs, les Springboks devraient annoncer leur formation seulement... vendredi, à deux jours du choc face à la France.
"C'est tactique, avoue le directeur du rugby des Springboks, sourire en coin. Nous voulons nous assurer que pour chaque poste, nous avons quelqu'un de bon et en forme. Et sur certaines positions nous ne savons pas encore quelle sera la meilleure option."
Antoine Dupont s’entraîne avec un casque
Antoine Dupont a bien testé le casque de protection lors de l’opposition qui a eu lieu ce mardi au stade du Parc, à Rueil-Malmaison. Un casque noir à liseré blanc. Reste à savoir si ça ne gêne ni sa vision ni son audition, expliquait Bruno Boussagol, manager santé du XV de France.
Les Bleus ont fait une opposition avec des contacts modérés. Le capitaine animait le jeu en position offensive en mettant de la vitesse mais sans s’engager dans les espaces se contentant d’éjecter le ballon.
Sur les séquences défensives, Antoine Dupont ne plaquait pas et il était replacé sur une aile pour être préservé des contacts. Une adaptation tactique qui pourrait être ponctuelle puisque c’est la première fois que le demi de mêlée s’entraîne avec de la vitesse et un peu de contact depuis son retour il y a 10 jours en sélection.
Face à l'Afrique du Sud, les Bleus joueront...en bleu
Le XV de France portera son maillot bleu face aux Springboks ce dimanche au Stade de France. De leur côté, les Sud-Africains arboreront leur maillot classique, vert avec un liseré or.
De manière générale, toutes les équipes pourront porter leur tenue principale à l'exception des Fidjiens, qui jouent habituellement en blanc comme leur adversaire anglais du jour. Ils joueront donc vêtus d'un maillot noir imprimé de feuilles de palme roses (le palmier est l'emblème officiel des îles Fidji).
A cinq jours du choc, les Springboks tout sourire à l'entraînement
Les Springboks, équipement noir sur le dos, se sont entraînés à partir de 14h55 sur le stade Omnisports de Croissy, dans les Yvelines. Quinze minutes étaient ouvertes à la presse et une dizaine de journalistes et photographes étaient présents, pas de public. Les Sud-Africains se sont échauffés en courant, ont échangé quelques passes et quelques coups de pied sous un grand soleil et presque 30°C.
Beaucoup de sourires et de décontraction à l'image du demi de mêlée Faf de Klerk, casquette vissée sur la tête. Aucune conclusion à tirer sur la composition face aux Bleus. Un entraîneur et deux joueurs s'exprimeront face aux médias à partir de 17h40 dans l'auditorium de Roland Garros.
"On a été un peu floués": Émile Ntamack garde "un petit goût amer" de la demi-finale de 1995 contre les Springboks
Battus à Durban sous un déluge rendant le match quasi-injouable, les Bleus de 1995 sont passés tout près d'une qualification en finale. Mais plus que les trombes d'eau, ce que gardent en tête les acteurs de l'époque, dont Émile Ntamack, c'est cet essai d'Abdelatif Benazzi injustement refusé, qui aurait tout changé.
"On sait qu'on a été un peu floués, pour pas dire plus, sur ce match-là. (...) On nous refuse trois essais dans la partie, qui s'est jouée dans des conditions dantesques. Je ne vois pas pourquoi ces essais n'étaient pas valides. Mais bon ça a été décidé autrement. On garde un petit goût amer parce qu'on se sent volés", rumine l'ailier du XV de France au micro de RMC Sport.
Pour lui, plus encore qu'une finale, c'est d'un possible titre dont ont été privés les Bleus ce jour-là.
"On se sentait capables d'aller chercher ce titre de champions du monde. On avait battu toutes ces équipes-là, que ce soit la Nouvelle-Zélande ou l'Afrique du Sud même, et chez elle", regrette-t-il.
Face à l'Afrique du Sud, Émile Ntamack "ne s'attend pas à un autre résultat qu'une victoire"
La victoire et rien d'autre. L'ancien international français Émile Ntamack est serein à cinq jours du quart de finale entre la France et les Springboks, comme il l'a confié au micro de RMC Sport.
"Je trouve que c'est une Équipe de France qui est confiante, sûre d'elle, qui a ses atouts. Forcément, de beaux adversaires se profilent: l'Afrique du Sud, redoutables de puissance et de certitudes. Mais on a vu que ces formidables joueurs ont été battus il n'y a pas si longtemps. Ça veut dire qu'ils peuvent être à nouveau battus", estime l'ancien trois-quart des Bleus.
Pour lui, les Bleus vont batailler, mais l'emporteront à la fin grâce à la ferveur qui les entoure. "On sait que ça va être rugueux, que ça va être dur, très dur. Mais on pourra compter sur le public nombreux qui est derrière cette équipe de France", explique le père de Romain Ntamack, l'ouvreur blessé des Bleus.
"Je ne m'attends pas à un autre résultat qu'une victoire", conclut-il.
"Ça paraît un peu injuste", Sexton regrette que les favoris s’affrontent dès les quarts de finale
L’Irlande va défier la Nouvelle-Zélande, samedi au Stade de France (21h), en quart de finale de la Coupe du monde 2023. Le lendemain, le XV de France affrontera l’Afrique du Sud. Deux chocs au sommet qui contrastent avec les deux autres affiches prévues: pays de Galles-Argentine et Angleterre-Fidji, selon Jonathan Sexton, le capitaine irlandais de 38 ans. "On est ravis d’avoir terminé en tête de la poule, on se retrouve là où on souhaitait être, avec les quarts de finale en ligne de mire et un adversaire le plus difficile qu’on pouvait rencontrer. Le tirage au sort a eu lieu il y a trois ans, et paraît un peu injuste aujourd’hui, mais c’est ainsi, et on devra être prêts pour affronter la Nouvelle-Zélande", explique le demi d’ouverture du XV du Trèfle.
"J'ai accepté que cette Coupe du monde dépasse le sport", pourquoi Benazzi a vite digéré son essai refusé face aux Boks en 1995
Abdelatif Benazzi (55 ans) restera comme le héros malheureux de la première confrontation en Coupe du monde entre la France et l’Afrique du sud. C’était en 1995 lors d’une demi-finale qualifiée par Pierre Berbizier, alors sélectionneur des Bleus, comme "l’une des plus grandes escroqueries sportives de l’histoire". Sur un terrain détrempé et certainement impraticable, les Français s’étaient inclinés (19-15), victime de décisions arbitrales très douteuses, comme celle de refuser un essai - qui semblait valable - à Benazzi à la 78e minute.
>> Les propos d'Abdelatif Benazzi à lire ici
A cinq jours des retrouvailles entre les Bleus et les Boks dans un Mondial, dimanche en quart de finale (21h), Benazzi revient sur ce premier choc entre les deux nations et sa dimension très politique vingt-huit ans plus tard. L’ancien deuxième-ligne, désormais vice-président de la FFR chargé des relations internationales, accepte les choix contraires de l’arbitre pour les Sud-africains, favorisés - selon certains – pour leur permettre de triompher dans un contexte post-apartheid très lourd.
"J'ai accepté que cette Coupe du monde dépasse le sport", confie Benazzi dans L’Equipe. "Deux ans auparavant, je faisais partie de l'équipe de France en tournée là-bas. Je n'avais pas pu jouer les deux tests à cause de blessures. Je passais beaucoup de temps loin du terrain et c'était choquant. Horrible même. À Pretoria, à Johannesburg, les gens étaient armés. Il y avait des endroits indiquant "Only White". Quand on est allés jouer à Bloemfontein, on entendait des discours suprémacistes. Je n'ai pas oublié la soumission de ces gens noirs, la tête baissée. Ceux qui travaillaient dans nos hôtels avaient été affublés par les Blancs de prénoms "blancs", pour renier leur identité. Ils étaient terrorisés, ne voulaient pas que ça se sache."
"En deux ans, cette Coupe du monde a réglé beaucoup de choses. Pas tout, bien sûr. Pas tout. Mais aujourd'hui, quand je regarde les Springboks, quand je vois leur capitaine noir (Siya Kolisi, NDLR) qui est si solaire, je me dis que 1995 y est pour quelque chose."
Thierry Dusautoir fait son entrée au Hall of Fame de World Rugby
L'ancien capitaine et troisième ligne du XV de France Thierry Dusautoir (80 sélections), retraité depuis 2017, est le 163e joueur à faire son entrée au Hall of Fame de World Rugby, a annoncé l'organisation ce mardi.
Salué pour sa "puissance défensive", le meilleur joueur du monde en 2011 est vice-champion du monde avec les Bleus (battus 8-7 par les All Blacks). Il a été champion d'Europe avec le Stade Toulousain (2010) et quintuple vainqueur du Bouclier de Brennus (2005, 2006 avec Biarritz, 2008, 2011 et 2012 avec Toulouse).
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Pourquoi les Springboks pourraient jouer sans maillot distinctif ni hymne contre la France
Une infraction au code mondial antidopage de l’Afrique du Sud pourrait obliger les Springboks à jouer sous bannière neutre, sans hymne, ni drapeau, face à la France, en quart de finale de la Coupe du monde de rugby.
>> Ce que l'Afrique du Sud prévoit de faire pour échapper à la sanction de l'AMA
Les arbitres pour les quarts de finale ont été désignés, un Néo-Zélandais au sifflet pour les Bleus
World Rugby a annoncé ce mardi les arbitres sélectionnés pour les quarts de finale de la Coupe du monde, disputés les 14 et 15 octobre. Un Français sera notamment présent avec Mathieu Raynal, alors que les Bleus seront arbitrés par un visage bien connu, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe, déjà au sifflet lors de France-Uruguay lors de la phase de poule.
Pays de Galles-Argentine (samedi 14 à 17 heures à Marseille): Jaco Peyper (Afrique du Sud)
Irlande-Nouvelle-Zélande (samedi 14 à 21 heures à Saint-Denis): Waynes Barnes (Angleterre)
Angleterre-Fidji (dimanche 15 à 17 heures à Marseille): Mathieu Raynal (France)
France-Afrique du Sud (dimanche 15 à 21 heures à Saint-Denis): Ben O'Keeffe (Nouvelle-Zélande)
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Le joli geste du sélectionneur fidjien pour les Portugais après leur exploit
Après la victoire surprise du Portugal face aux Fidji, dimanche à Toulouse lors du Mondial 2023 (24-23), Simon Raiwalui s’est distingué par un geste de grande classe. Le sélectionneur fidjien est venu dans le vestiaire des Lobos pour leur offrir les maillots portés par ses joueurs durant la rencontre.
>> Le cadeau des Fidjiens pour les Portugais après leur exploit
L'ancien sélectionneur des Boks convaincu que les Sud-Africains ne cibleront pas Dupont
Dans un entretien pour Midi Olympique, Heyneke Meyer, ancien sélectionneur de l'Afrique du Sud (2012-2015), est convaincu que les Boks ne feront pas d'Antoine Dupont leur cible si le demi de mêlée joue dimanche lors du quart de finale au Stade de France.
"Ils ne vont pas jouer à ça. Ce serait idiot. Les Springboks savent qu'un carton jaune peut coûter très cher et qu'en face Thomas Ramos est de très loin le meilleur buteur de la Coupe du Monde (...) Ces deux équipes aiment soumettre leurs adversaires à des pressions intenses, constantes. L’élément déterminant de ce quart de finale sera donc la discipline, soit la capacité de chacune de ces formations à réagir à la pression. En ce sens, le probable retour du leader tricolore Antoine Dupont est majeur pour les Bleus. Il va considérablement rassurer ses coéquipiers, dans les moments chauds."
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Shaun Edwards se réjouit du retour d'Antoine Dupont
Antoine Dupont est en passe de réussir son pari: celui de rejouer face à l'Afrique du Sud dimanche (21 heures), plus de trois semaines après son opération d'une fracture maxillo-zygomatique le 22 septembre. Un retour aussi rapide qu'important pour les Bleus, en quête d'un premier sacre mondial. Pour y parvenir, il faudra d'abord écarter de leur chemin les champions du monde en titre, deuxièmes de leur poule derrière l'Irlande.
Mais Shaun Edwards est convaincu que le XV de France peut aller loin. Surtout depuis la très bonne nouvelle du retour d'Antoine Dupont. Autorisé à reprendre l'entraînement rugby ce lundi, le demi de mêlée va mettre les bouchées doubles pour tenter de revenir à son meilleur niveau. Un niveau toujours au top selon l'entraîneur de la défense. "Ce qui est important c'est qu'il n'a pas perdu de poids. Il a pu prendre des yaourts et des boissons protéinées le lendemain de sa blessure, ce qui était vital car il est très musclé et ce muscle se désintègre s'il n'est pas nourri. Il n'a pas une once de graisse sur lui", explique Shaun Edwards dans sa chronique pour le Daily Mail.
>> Toutes les déclarations de Shaun Edwards sont à retrouver ici
Coup dur pour l'Argentine avec le forfait de Matera pour le quart contre les Gallois
Le troisième-ligne argentin Pablo Matera, blessé dimanche lors de la victoire des Pumas contre le Japon (39-27), souffre d'une grave déchirure du muscle ischio-jambier de la cuisse droite et ne sera pas disponible pour le quart de finale contre le pays de Galles samedi (17h00) à Marseille, a annoncé lundi la sélection argentine.
"Pablo Matera a été victime d'une déchirure de grade 3 à l'ischio-jambier droit", précise la sélection argentine sur son compte X (anciennement Twitter). La durée de son indisponibilité n'a pas été précisée.
Antoine Dupont pressenti pour démarrer face aux Springboks
Selon les informations de RMC Sport, le capitaine des Bleus entre bien dans les plans du staff tricolore pour le quart de finale contre l’Afrique du Sud, dimanche. Le but est même de le faire débuter la rencontre, 24 jours après sa fracture de la pommette et de la mâchoire droites.
Dès ce lundi après-midi, le demi de mêlée était de retour à l’entraînement avec ses coéquipiers pour une séance de clarté (la répétition de lancements de jeu au pas). Selon nos informations, Antoine Dupont était du côté des titulaires avec la chasuble floquée du numéro 9. Le Bordelais, Maxime Lucu qui a pris la relève face à l’Italie vendredi dernier à Lyon (60-7), est repassé avec les remplaçants ce lundi.
Le vrai test censé valider sa titularisation aura lieu ces mardi et mercredi lors des entraînements avec contacts et engagement. A noter que lors de l'entraînement de ce lundi, Antoine Dupont ne portait pas de casque.
Le secret pour battre les Boks? Pour Moscato, "il faut y aller à plein badin devant"
La recette pour tenir tête aux Springboks? C'est Vincent Moscato qui la tient. Pour lui, il s'agit avant tout de ne pas laisser le rouleau compresseur du pack sud-africain se mettre en marche.
"On a tous peur de ce paquet d'avant", assure-t-il.
"Il faut prendre le taureau par les cornes. Il faut y aller à plein badin devant, être costauds en mêlée, pas se faire retourner et gagner les duels, qu'ils n'avancent pas. S'ils commencent à mettre la machine en route, tu vas prendre des pénalités, tu vas avoir du mal à gratter des ballons. Sur le défi physique, ils seront peut-être au-dessus. Derrière, on a plus de génie, on peut varier davantage le jeu", conclut Vincent Moscato.
Pour le chirurgien d'Antoine Dupont, "les décisions prises ne sont pas soumises au référendum national"
"Le secret médical, c'est la règle". Dans une interview au Parisien, le professeur Frédéric Lauwers, chef du service maxillo-facial du CHU de Toulouse et chirurgien d'Antoine Dupont, est revenu sur la pression qui a entouré la convalescence du capitaine des Bleus.
"Il me tarde de revenir dans l'ombre. Mon idée était de rester en retrait parce qu'il faut protéger le secret médical, explique le praticien de 57 ans. Les décisions qui sont prises ne sont pas soumises au référendum national, je préférais donc rester à l’écart du brouhaha."
"On lâche jamais rien": le talonneur portugais Mike Tadjer revient sur l'incroyable victoire des Lobos contre les Fidji
Épuisé mais heureux. Invité du Super Moscato Show, le talonneur du Portugal Mike Tadjer est revenu sur l'incroyable victoire de son équipe contre les Fidji, et plus généralement sur la belle Coupe du monde des Lusitaniens, unanimement salués pour leur force de caractère.
"Peu importe qu'il y ait 15 ou 20 points d'écart ou qu'on prenne un essai au bout d'une minute de jeu, comme contre la Géorgie, on lâche jamais rien. Et hier soir, ça a payé. C'est énorme pour le rugby portugais", a-t-il lancé.
"Ils sont forcément favoris": le staff des Springboks met la pression sur la France
Interrogé en conférence de presse sur le prochain quart de finale entre les Springboks et les Bleus, l'entraîneur adjoint en charge des avants sud-africains Deon Davids a chanté les louanges du XV de France, comme pour mieux lui renvoyer le poids de la pression.
"Ils sont n°2 mondiaux, ils ont une grosse équipe, de la qualité, ils sont devant leur public... Ils sont forcément favoris", a-t-il estimé.
Une domination sans partage de la France en cas de titre mondial ?
Vice-champion du monde de rugby en 1987, l'ancien troisième ligne du XV de France Éric Champ est très optimiste pour l'avenir des Bleus.
Pour lui, un sacre mondial des hommes de Fabien Galthié pourrait ouvrir une longue période de domination française sur le rugby mondial.
>> Ne manquez pas la prise de parole de l'ancien joueur des Bleus
Dupont pourrait jouer avec un casque contre l'Afrique du Sud
Autorisé à reprendre l'entraînement rugby après avoir obtenu le feu vert de son chirurgien, Antoine Dupont pourrait porter un casque plutôt qu'avec un masque s'il joue lors du quart de finale face à l'Afrique du Sud dimanche.
C'est fini pour le point presse
Les Bleus ont rendez-vous ce lundi après-midi pour un entraînement.
Sur Matthieu Jalibert
LBB: "Il remplace très bien Romain. Il fait partie des postes clés pour gagner un match, pour déclencher de bonnes situations. Il a l'habitude de jouer des matchs comme ça, je ne pense pas qu'il se mette de pression, comme souvent, il va répondre présent."
Sur Dupont
LBB: "On a passé toute la semaine avec lui, il semblait pluitôt bien. On ne l'a pas encore croisé aujourd'hui."
Bielle-Biarrey sur l'opposition musclée face aux Boks
"On sait que ce sera un match physique. Sur les ailes, ils ont des gabarits moins costauds mais qui vont vite. Il faudra jouer vite et être très précis."
Boudehent sur sa sortie du protocole commotion et la sortie des protège-dents connectés
"Toutes les initiatives prises, il n'y en a pas de mauvaises concernant la santé des joueurs. Je trouve bien la volonté d'essayer, est-ce que le protège-dent connecté sera utile ? Je ne sais pas."
Que retenir du week-end off ?
LBB: "En famille, ça permet de sortir de notre bulle et de se reposer. J'ai eu l'occasion de retourner dans mon club formateur, on sent tout l'engouement."
Sur le quart de finale face aux Boks, champions du monde
Boudehent: "On est tous d'accord pour dire que c'est particulier. C'est un honneur d'être dans les 33 et postuler. C'est pour ça qu'on est là, on savait qu'on avait des chances de les retrouver, on a hâte, on a tous envie d'y être. Ce sera un énorme évènement, il y a beaucoup d'excitation."
Sur Dupont
LBB: "On est tous très content qu'il revienne à l'entrainement. Tout le groupe espère que oui, même s'il y a d'autres solutions à ce poste."
Sur la pression qui monte avant le quart
Boudehent: "Non dans la mesure où on est dans notre bulle. Le staff et l'encadrement font qu'on est préservé de ça. On est imperméable, on continue notre aventure."
Sur l'Afrique du Sud
LBB: "C'ets une équipe très physique, avec un match avec beaucoup d'intensité. Ce seront un gros combat.
Boudehent: c'était l'un des matchs les plus durs à jouer."
C'est fini pour Bruno Boussagol
Place désormais à Louis Bielle-Biarrey et Paul Boudehent
Boussagol sur la décision de faire jouer Dupont
"Ma partie est la santé. Antoine est un joueur qui fait partie des 33 sélectionnés pour disputer la Coupe du monde. Le sélectionneur va prendre le temps de discuter avec Antoine et voir s'il est en mesure de jouer ce match."
Boussagol sur l'après opération de Dupont
"Je ne suis pas médecin, je suis kiné osthéopathe. Il y a un secret médical qui doit être gardé. A cette date, l'ossification se fait normalement. S'il y avait un problème, on n'aurait pas mis de deadline. Il n'était pas envisageable de faire prendre un risque à Antoine pour le faire revenir plus rapidement."
Boussagol sur la gestion de la douleur de Dupont
"Ca faisait partie de notre travail, il y avait une partie soin et on a travaillé sur la réduction de l'oedème. Tous les éléments ont été traités, il n'a pas de douleurs particulière. On le suit au quotidien et on va être très attentif. Il n'a pas de traitement spécifique."
Boussagol sur un éventuel casque pour Dupont
"Le port du casque a été évoqué. On travaille dessus, il a testé ce genre de protection. Il faut qu'il arrive à s'entraîner avec. Il faut qu'il le supporte, qu'il ne soit pas gêné d'un point de vue visuel et auditif."
Boussagol relancé sur Dupont et le danger des contacts
"Tous ces éléments sont analysés. La personne la plus en capacité de juger son retour sur les terrains est son chirurgien. On doit alemner Antoine à être dans les meilleures dispositions. On doit être à ses côtés pour qu'il puisse postuler dans les meilleures conditions. Une réflexion sera partagée."
Boussagol sur Marchand
"S'il est resté dans le groupe, c'est qu'il y avait une chance de le revoir avant la fin. On aurait aimé vous annoncer son retour cette semaine mais ce n'est pas possible. On a une stratégie par rapport à la progression du groupe, les joueurs à disposition. On a un seul blessé sur les 33, on travaille avec lui pour le faire revenir et on espère au plus tard la semaine prochaine."
Boussagol sur Dupont
"Tout est allé très vite puisqu'il n'avait pas de séquelle après son traumatisme. Le prérequis était l'accord du chirurgien. On va continuer à travailler avec lui pour qu'il soit dans les bonnes dispositions avant la décision du sélectionneur. La semaine dernière, tout été modéré. Maintenant, il est avec le groupe.
Les contacts vont se faire rapidement. On a trois jours pour le tester et voir sa réaction avant la compo. On est à son contact au quotidien, jusque là tout va bien. Cet après-midi lors de l'entraînement clarté, il sera accompagné de préparateur physique. Demain, il sera à la disposition des entraîneurs pour faire comme les autres."
"Peu probable" de voir Marchand face aux Boks, Dupont va reprendre l'entraînement rugby dès ce lundi
"Après l'Italie, il n'y a pas eu de pépins physiques, juste des bobos habituels. Dupont a fait sa visite ce matin. Le feu vert a été donné, il reprend la partie rugby cette après-midi.
Julien Marchand continue sa préparation. Il est peu probable qu'il soit dans le groupe pour le quart de finale.
Paul Willemse est prêt et dans l'attente avec Montpellier."
La conférence de presse des Bleus à suivre à 14 heures
Le manager santé Bruno Boussagol sera accompagné de Louis Bielle-Biarrey et Paul Boudehent.
Feu vert pour Antoine Dupont pour la reprise du rugby
"Suite à sa visite médicale planifiée aujourd'hui avec le chirurgien qui l'a précédemment opéré, Antoine Dupont a obtenu l'autorisation de reprendre dès ce jour les entraînements de rugby", indique la Fédération française de rugby ce lundi.
Les Boks "espèrent que Dupont sera là
Du côté des Sud-Africains, prochains adversaires des Bleus, on espère que le Toulousain sera présent. "En Coupe du Monde, les meilleurs pays et les meilleurs joueurs du monde s’affrontent. On espère qu’il sera là pour qu’on profite tous de l’un des meilleurs joueurs du monde, a répondu Daan Human, l'entraîneur-adjoint des champions du monde en titre. On ne se concentrera jamais sur un seul joueur, mais sur un système et un collectif. Se concentrer sur un seul joueur, c’est le meilleur moyen de se faire avoir par celui qui se trouve derrière lui. On va rester fidèles à notre système et à ce qu’on a toujours fait."
Journée décisive pour Antoine Dupont ce lundi
Le demi de mêlée du XV de France Antoine Dupont, opéré le 22 septembre d'une fracture maxillo-zygomatique, saura lundi si son chirurgien l'autorise à rejouer, moins d'une semaine avant le quart de finale du Mondial que les Bleus disputeront dimanche face aux Sud-Africains.
Dupont (26 ans, 51 sélections) a rendez-vous dans la journée à Toulouse avec le professeur Frédéric Lauwers, un spécialiste de la chirurgie maxillo-faciale, pour une visite médicale cruciale.
Victime d'un choc violent lors de la large victoire en phase de groupe sur la Namibie (96-0) à Marseille le 21 septembre, le capitaine des Bleus avait été opéré dès le lendemain à l'hôpital Purpan de Toulouse, avant de retrouver dix jours plus tard à peine ses partenaires, pour une phase de reprise en individuel.
Lundi, il reverra le professeur Lauwers qui doit lui signifier s'il l'autorise à reprendre le rugby avec contacts, et donc les entraînements du XV de France.
Le programme des quarts de finale
Pays de Galles-Argentine, le 14 octobre à Marseille (17h)
Irlande - Nouvelle-Zélande, le 14 octobre à Saint-Denis (21h)
Angleterre - Fidji, le 15 octobre à Marseille (17h)
France-Afrique du Sud, le 15 octobre à Saint-Denis (21h)
Bonjour à tous
Bienvenue sur le site et l'appli RMC Sport pour suivre toute l'actualité de la Coupe du monde de rugby et du XV de France, qualifié pour les quarts de finale face à l'Afrique du Sud. Cette semaine s'annonce décisive pour les Bleus, notamment pour Antoine Dupont, victime d'une fracture maxillo-zygomatique le 21 septembre face à la Namibie.
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